1. Lettres d'une femme mariée - 2


    Datte: 30/03/2020, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, journal, confession, extraconj,

    ... une lingerie des plus sexy, je suis plus performante encore dans mon pouvoir de séduction vis-à-vis des hommes. Je sais également que si tel est son désir, je serai capable de ne rien porter en dessous… Mais pour l’instant en tout cas, il accorde une extrême attention à ce que je choisisse une lingerie intime. Ainsi dès ce matin, il a souhaité que je le rejoigne à son bureau. Et à l’instant où la porte s’est fermée, il m’a demandé de venir tout près… J’étais intimidée, surprise, mais aussi flattée d’attirer son attention. — Je ne vous ai pas dit à quel point j’apprécie le port altier de votre buste, la beauté que je devine et en partie que je vois de vos seins… Aujourd’hui, j’aimerais faire connaissance un peu plus avec eux… Ces propos, comme tout ce qui émanait chez lui d’un désir à mon égard, diffusaient en moi comme une douce chaleur. Je ne me vivais plus alors comme l’employée de mon supérieur, mais comme la femme mariée qui s’apprêtait à succomber aux exigences que lui soumettrait son nouveau maître. L’une de celles-ci étant, qu’à travers la rédaction de ce courrier que je t’adresse, j’aie toujours présent à l’esprit que la relation que j’ai avec cet homme n’est pas anodine. Que dans ce jeu délicieusement pervers qui se développe entre Michel et moi, il y a avant tout une relation adultère… avec la saveur singulière de l’interdit… le plaisir que je dois avouer d’avoir à te tromper, même si, je te le rappelle, c’est sans volonté de te faire souffrir… Je n’aurais jamais ...
    ... imaginé la satisfaction profonde, attisée par ce léger sentiment de culpabilité et d’insécurité, que toi, mon petit mari chéri, tu me procurerais indirectement. Comment t’expliquer à toi le plaisir que je retirais de la conscience pleine et entière que j’étais en train de te faire cocu ? J’ai retiré mon chemisier. Il a pu dès lors entrevoir ma poitrine que tu aimes tant et dont tu sais également que je suis si fière… Un peu par orgueil et dans le désir de retrouver les sensations que j’éprouve à exhiber mes seins nus sur la plage, j’ai ôté l’agrafe de mon soutien-gorge… Mais d’un geste ferme qui m’a surprise et un peu déstabilisée, il a bloqué mon bras ! — Je ne souhaite pas que vous me montriez tout ! En tout cas, pas tout de suite… Je veux d’abord apprendre à les découvrir, à les apprivoiser… Et pendant qu’il me disait cela d’une voix assurée mais douce, il s’est levé et m’a serrée dans ses bras très fort tout en m’invitant à me rajuster… Tout cela, comme le contact de son torse contre le mien, m’excitait terriblement et je sentis mes mamelons gonflés contraints par l’armature de ma parure de dentelle, plus fermes et imposants que jamais. Cette sensation d’être trop à l’étroit avec une pièce de vêtement que j’avais pourtant l’habitude de mettre avec toi me révélait le trouble physique particulier qu’il était le seul, pardon de te le dire mon chéri, capable de provoquer en moi. J’avais l’impression de vivre une véritable métamorphose, comme si une part cachée de ma féminité se ...
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