1. Lettres d'une femme mariée - 2


    Datte: 30/03/2020, Catégories: fh, couple, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, intermast, journal, confession, extraconj,

    ... développait à son contact ! Curieusement, ce sentiment trouble de sentir ma poitrine serrée dans mon vêtement sexy me donnait l’impression d’être plus impudique encore que si j’avais été nue. J’éprouvais, dans ce contact inédit de ma chair, à la fois le contour enveloppant de l’armature et le dessin des motifs de dentelles qui laissaient entrevoir bien des aspects de ma poitrine. Il ne pouvait pas échapper à l’observateur avide que j’avais devant moi que mes tétons, dont la pointe tendait le tissu, exprimaient un désir puissamment érotique envers lui ! Son attitude encore fut différente de celle que j’attendais… Au lieu de s’approcher pour me sucer les mamelons que je m’apprêtais bien volontiers à lui offrir, il m’observait sagement et esquissa tout juste un geste timide qui frôla à peine et brièvement ma poitrine. Mais ce contact furtif provoqua chez moi un plaisir d’une force étonnante et je ressentis instantanément sur tout le corps un agréable frisson… Il baissa alors la tête, pour la blottir entre mes seins, alors qu’il semblait vouloir savourer l’odeur qui se dégageait, mêlée de parfum et de sueur au creux du sillon accueillant de ma poitrine… Après quelques minutes de pure tendresse où son visage semblait vouloir trouver refuge contre moi, il parut vouloir inverser les rôles. Une fois assis dans son confortable siège de bureau, il me fit comprendre d’un seul geste qu’il souhaitait que je vienne sur ses genoux. Je n’avais aucune raison de lui témoigner la moindre ...
    ... réticence… et en un instant j’avais mes cuisses posées sur les siennes ! Le bonheur que j’avais à être simplement là, sur ses genoux, avait quelque chose de presque enfantin. Il y avait une part d’innocence en une attitude qui pouvait sembler naturelle… J’avais envie d’être contre lui, comme il semblait avoir envie d’être contre moi… Mais cette posture perdit de son naturel dès qu’il glissa sa main entre mes cuisses à la recherche d’une autre chaleur moins innocente ! À la sensation de ses doigts contre ma fine culotte déjà passablement humide, je savourais pour la seconde fois ce contact directement sexuel ! Je me sentais curieusement toute petite et un peu honteuse, car je savais que les lentes caresses qu’il me prodiguait ne dissimulaient plus rien de mon état d’abandon à la moindre de ses exigences. Littéralement, je me sentais fondre sur lui. Je savourais avec délectation le fait qu’il me branle avec une si grande douceur, un peu comme aurait pu le faire la seule caresse du vent… vu l’état dans lequel je me trouvais déjà, prête à réagir à la sollicitation la plus légère ! Il avait, pendant ce temps, approché sa bouche. Du bout de la langue, délicatement, il s’est mis à laper le bout d’un de mes seins, ce qui provoqua en moi des frissons aussi inattendus que délectables… Sans même m’en rendre compte, et peut-être, au début, tout juste pour chercher un soutien, j’avais glissé ma main dans son entrejambe contre la couture du pantalon… De la façon la plus naïve et, pour une fois, ...
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