Lettres d'une femme mariée - 2
Datte: 30/03/2020,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
journal,
confession,
extraconj,
... peine étais-je arrivée à l’agence que Michel m’a appelée dans son bureau… Il m’a alors fait chercher une de mes lettres dans mon coffre personnel pour que je la lui lise. Ce fut un moment merveilleux où j’avais l’impression que le temps était suspendu ! Ce n’est pas que mon écriture puisse avoir quoi que ce soit d’exceptionnel… mais m’entendre lui parler, alors que je parlais à toi, provoquait en moi un trouble indicible. J’avais beaucoup de peine à ne pas rougir lorsque j’arrivais à ces passages où je parlais sans détour de mon désir pour lui. Alors qu’il était là, impassible au fond de son fauteuil, un léger sourire aux lèvres, je le devinais en train de déguster mes paroles… et puis quand j’ai terminé ma lecture, il s’est levé. — Une fois encore vous avez été parfaite ! Vous savez répondre exactement à ce que j’attends de vous ! Être fidèle à votre infidélité… C’est tellement beau de vous voir assumer comme vous le faites, de tromper votre mari… C’est comme le tromper une seconde fois ! Je sais à quel point je perce votre intimité, lorsque vous me lisez ces lettres qui lui sont adressées… et j’adore ça ! Et puis il se remit à me dévisager de la tête aux pieds, ce qui devenait un rituel entre nous, avant qu’il ne me demande une faveur… — Hier, j’ai adoré sentir vos fesses contre mes cuisses, surtout lorsque vous étiez complètement lovée contre moi et que je recevais tout le poids de votre corps par la pression de votre cul ! J’ai envie maintenant de le voir et de le ...
... remercier à ma manière ! Il n’en fallait pas plus pour que je lui tourne le dos et que je soulève ma jupe afin de lui offrir le spectacle de mes globes fessiers à peine couverts d’une fine culotte de couleur chair et si transparente qu’elle pouvait donner un instant l’illusion que j’étais les fesses à l’air ! Il me dit apprécier le contact de la fine étoffe et le crissement si léger qu’elle provoquait lorsqu’il entreprenait de me caresser la croupe. En vérité sa caresse était si appuyée qu’il s’agissait plutôt d’un massage qu’il s’appliqua à prodiguer à mon postérieur d’une façon intense. C’était à tel point vrai qu’il devait pouvoir découvrir en toute impudeur à chaque pression le relief savoureux et fripé de ma petite rosette. Cette fois, ses gestes étaient moins tendres encore et je me rendais compte que cette brutalité comblait totalement mon désir. Celui d’être violentée, pénétrée par celui que je considérais, dès lors, comme mon maître en amour ! Je n’allais pas être déçue ! Sans aucun préliminaire, il me fourra son large pouce dans l’anus… pour masser cette fois l’intérieur de mon cul ! Et pour la première fois, je me surpris à parler sans plus rien contrôler de mes propos lubriques : — Oh oui, je vous en prie, baisez-moi par là ! C’est tellement bon de me faire fourrer par mon gentil patron ! N’arrêtez pas… n’arrêtez pas, je vous en prie ! Un moment, je perçus ces propos comme ridicules, comme issus d’un mauvais film X… et puis je me suis rendu compte que cela finalement ...