1. Anne soumise est offerte par son mari au promoteur, ses ouvriers, elle s'offre (1)


    Datte: 25/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... souplesse. L’autre main m’agrippant pleine chatte… Il retire son pantalon, ses chaussettes, s’assoit sur le canapé, lustre sa bite de ma mouille. Il se branle un peu… Suis courbée, à genoux, au bord du canapé, il prend mon visage à 2 mains. Fourre sa queue sur mes lèvres, pénètre ma bouche, je l’absorbe à petite gorgées, cm par cm, entière (elle est a demi molle). « SUCE SALOPE, suce encore, fais la grossir, quand je suis bien je te BAISE !! » La queue devient dure. Galvanisé… il gonfle… Son gros gland est rouge vif, je suce à une cadence d’enfer, tant que je peux respirer, j’enfouis mon visage entre sa bite et ses cuisses. Il insiste pour que je lèche ses couilles poilues. Ca l’excite grave. Je le liche sous les couilles, au bord de l’anus… Ma langue est un reptile. Je fais tout pour son plaisir… !! Soudain, il se lève, me replie à genoux vers le dossier du canapé, cul tendu vers lui, jambes très écartées, mes mains en appui sur le dossier, je me tiens fermement. Dans cette posture j’offre une chatte béante, la petite rosette, bien aérées toutes les deux, je ne peux rien faire, sinon je tombe ! J’attends … Lui debout est à juste hauteur, il me bourre, embroche sa large bite, dans ma ...
    ... chatte, sans retenue. Il pilonne, encore, encore, va, vient, pivote, énergie rarissime pour un sexa !!! « T’as voulu du Georges, tu en as, ma garce !! » « Dis-moi ? C’est bon. T’en as plein la moule ? Je vais la remplir de foutre ! Ras la chatte »« Tu veux ?? » «OUI Georges, OUIII! » « Arrosez FORT, comme tout à l’heure ! Je sens bien votre bite, OUIII, Vite. Lâchez TOUT !! » « Tiens salope ! Voila ma crème. Bonne purée !! » « Putain, comme c’est bon de se vidanger les couilles dans une belle truie. Tu as un Cul ! Quel Cul. Ton petit œillet ! HUMMM» « J’y vais !» Il bande toujours, survolté. Ça devait arriver ! Il m’encule ! Sa bite huilée de mouille, de sperme, m’écarte facilement (l’endroit est à présent habitué à recevoir). Je pousse des fesses vers lui, il entre entier, jusqu’ à la garde. Reste là, au fond, bouge plus. « Branles moi avec ton cul ! Chienne ». Sitôt demandé, C’EST MOI qui LE BRANLE, AVEC MES FESSES, je serre, desserre l’anneau, joue avec sa bite, je le glisse en moi. IL LACHE tout, encore, longs jets, sa queue « tremble » dans mon cul. C’est SAUVAGE, TERRIBLE, DELICIEUX  !!!!!!... ET …surtout pas fini … ! La surprise va être pour mon mari…qui franchement n’avait pas tout prévu… 
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