1. De cablage en connection il n'y a qu'un pas


    Datte: 01/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Mon métier ? câbleur informatique, je refais les connections des hôpitaux, grandes surface etc.etc. ça ouvre bien des horizons j’y croise de nombreuses et belles nanas a vingt trois ans en pleine effervescence hormonale c’est bienvenu A mon précédent chantier j’étais seul pour faire le taf, pas facile pour faire certaines manœuvres, même en insistant pour avoir un collègue, restriction oblige donc j’ai décidé de prendre mon temps ! C’était un grande surface a une enseigne bien connue, comme les travaux devaient durer une bonne quinzaine ont ma alloué un cagibi inoccupé, sans éclairage, qui me sert de vestiaire, je dois faire le tour du bâtiment pour y accéder Dés la première journée des éclats de rires féminins m’ont interpelés, ça vient de ce coté de cette ancienne cloison en carton-plâtre plutôt défraichie, en regardant de plus prés je distingue a hauteur de ma taille un filet de lumière sous l’aussi vielle tapisserie, par curiosité je soulève un morceau décollé et là … bingo ! c’est le vestiaire des femmes ! elles sont cinq plus ou moins dévêtues, une seule sort du lot en sou vêtement plutôt sexy, trois en combinaison de grand mère, normal elles ont des heures de vol ! la dernière a déjà revêtu sa blouse de travail, je gratte la fente pour mieux voir la jeune femme qui a certains moments se baisse m’offrant des vues imprenables, les bonnets débordent et le bas plutôt étroit cache tout juste la vulve mais pas la toison frisée couleur ébène qui déborde sur les cuisses ...
    ... Soudain cette brunette regarde intensément dans ma direction, aurait-elle décelé quelque chose d’anormal lorsque j’ai repoussé le papier peint avec mon canif ? - Alors Cécile ? tu rêve au prince charmant ? dépêche-toi de te préparer sinon la chef va encore râler - Partez devant j’arrive Cette fois je suis quasiment certain qu’elle a remarqué quelque chose, je ne bouge plus …une fois les copines sorties elle approche de la cloison toujours en sous-vêtements, j’ai la magnifique paire de seins en stéréo sous les yeux - Houhou, y’a quelqu'un ? Qu’est-ce que c’est que ce trou ? …bizarre-bizarre …bon faut que j’y aille Une fois redressée c’est le triangle bien renflé bleu électrique du string qui est a cinquante centimètres de mes yeux, je pourrais presque sentit son odeur intime, elle se tourne lentement comme si elle se sentait observée et qu’elle voulait me faire profiter du mini spectacle qu’elle donne, en se courbant carrément en deux , la vulve serrée dans le tissu ne demande qu’a s’exprimer ! son postérieur ondule encore un moment puis elle revêt cette immonde blouse bleu pâle, je la reconnaitrais entre mille celle-ci ! avant de partir je profite d’être seul pour agrandir cette fissure en un trou rond de cinq centimètres toujours recouvert par la tapisserie Dans la matinée j’ai revu cette fille à une caisse clients, impossible de se tromper, son prénom est marqué sur sa blouse: Cécile …un instant nos regards s’accrochent, elle sait que je bosse dans ce magasin et me gratifie d’un ...
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