De cablage en connection il n'y a qu'un pas
Datte: 01/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... vous manque de sentir sa peau contre la votre ? - C’est vachement frustrant - Ça vous dirait de palper des seins bien réels ? Joignant le geste à la parole elle soulève son pull sous lequel sa poitrine libre se balance lourdement, par souci de discrétion par rapport aux passants je pousse la porte latérale du fourgon, prenant ceci pour acceptation de ma part elle cherche le zip de sa jupe - Tu va être comblé mon petit, je n’ai pas de petite culotte non plus ! vient …montre moi ce qui ravit autant Cécile - Mais madame il n’est pas question que je vous touche - Tu préfère que je me débarrasse de Cécile pour faute grave ? et je peux aussi alerter ton patron sur tes agissements ‘olé-olé’ pendant les heures de travail - Suce-moi et j’te baise…. - Non, toi, lèche moi avant, je vais m’assoir sur cette caisse Je ne peux que me plier à ses exigences, et puis je suis tellement avide de palper ses rondeurs que je me mets à genoux devant cet entrecuisse offert impudiquement, la femme renversée sur le dos m’accueille avec un rugissement de plaisir lorsque ma langue force le passage de ses lèvres qui une fois décollées laissent sa sève suinter Mes mains ne restent pas inactives, je malaxe fiévreusement ses cuisses en imaginant celles plus fines de Cécile, une fois reposées sur mes épaules je peux me consacrer a son clitoris et son anus, je la rends folle, elle glousse et trémousse son gros cul lorsque mon pouce pénètre son sphincter - Tu sais parler aux femmes mon cochon, bouffe moi si ...
... tu me fais jouir je te laisse me sodomiser - Très bien … et ça ? ont te l’as déjà fait ? - Ta main dans la chatte ? oooooooohhhhhnnnnnoooooooonnnn ! enfonce plus loin, c’est trop bon ! Des sons de plus en plus humides et sonores sortent de son con et de la bouche de Martine, elle pisse carrément sur mon avant bras, elle reprend difficilement son souffle, je retire mon poignet de cet antre visqueux dont les lèvres ont du mal à se joindre sans lui laisser le moindre répit - Fout-toi à quatre pattes morue et lève le cul - J’aime qu’ont m’humilie, met le moi sans douceur Son anus ressemble à un bourrelet d’hémorroïde, c’est bien pour échapper a ses menaces que je m’exécute, pour tenir raide je repense a la chatte, poilue certes, mais ‘oh’ combien serrée, affalée sur la caisse elle s’écarte elle-même les lobes fessiers, Martine couine comme une truie lorsque je franchis l’excroissance anale, les deux mains agrippées a ses hanches larges je la bourre comme un damné jusqu'à ce que ma jouissance me rattrape - Remet tes fringues et barre-toi - Oui mon chéri, pour te récompenser je te promets une surprise demain - J’ai du boulot en retard, je n’aurais pas le temps de baiser - Si j’étais toi je serais moins affirmatif … - Salut …. Ouf ! quelle corvée, vite a l’hôtel pour me laver, le lendemain j’évite de passer par le magasin pour éviter une mauvaise rencontre, en slip, prêt a revêtir mon bleu de travail lorsque des coups discrets sont frappés a la porte, merde, la Martine ? je vais la ...