1. Le lounge du porte-jarretelles


    Datte: 01/04/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme

    ... osé entrer ici dans cette tenue ? Pourvu qu’il ne fasse rien ici, pas devant le consultant… » Eléanore, dans l’insouciance de sa jeunesse, continue son petit jeu de charme, décroisant et recroisant lentement les genoux. Mais les yeux du boss ne quittent pas le corps de Nicole. Alors elle se tourne légèrement vers Patrick, un sourire espiègle au coin des lèvres, satisfaite de l’effet qu’elle fait sur le consultant qui a enfin compris qu’elle le drague. — Vous êtes très en beauté ; quel plaisir de travailler avec d’aussi jolies femmes telles que vous deux ! Allons-y, je vous emmène. Dans l’ascenseur qui les mène au parking en sous-sol, le boss ne manque pas d’entourer la taille de Nicole, la main descendant lentement vers les fesses. Elle frémit, le laisse faire.« Ça y est, ça commence… » Installés dans la voiture, le consultant et Eléanore sur la banquette arrière, Nicole ouvre légèrement les genoux. Le boss, tout en tenant le volant de la main gauche, vient de poser la droite sur sa cuisse, caressant lentement le nylon du bas, remontant le tissu de la jupe, juste un peu, s’arrêtant à la lisière du bas.« Il attaque tôt ! Et Patrick qui doit voir ce qui se passe… » Nicole ne bouge plus, les sens concentrés sur cette main qui progresse sur sa cuisse. Elle jette un coup d’œil vers la banquette arrière, découvre les deux jeunes s’embrassant.« Eh bien, la soirée démarre fort ; ils ne sont pas timides, ces deux là ! Mon Dieu, que c’est bon, sa main sur ma cuisse, ses doigts qui ...
    ... remontent… » La main du boss descend vers le genou, l’effleure, remonte, mais ne dépasse jamais le haut du bas.« Qu’est-ce qu’il attend pour monter plus haut ? Il sait bien que je le laisserai faire… Vas-y, touche ma culotte ! » Soudain, un coup de frein brusque. — Nicole, vous me troublez : j’ai failli brûler un feu ! Elle rit, un peu bêtement. Au fond d’elle-même, elle ressent une certaine fierté de lui faire perdre ses moyens, de constater que le contrôle légendaire du boss est effrité par son charme. Quinze minutes plus tard, la voiture s’arrête dans un quartier cossu, aux grands immeubles du dix-neuvième siècle. — Allons-y. Lorsque nous serons à l’intérieur, je vous expliquerai de quoi il s’agit. Le boss les emmène face à une grande porte de bois massif, sans aucune enseigne ni plaque ; il y a juste un bouton de sonnette sur le pan de mur, sur lequel il appuie. Une femme blonde, au chignon impeccable, leur ouvre. — Messieurs-dames, bonsoir. Monsieur Picard, je vous attendais ; ravie de vous revoir. Vous êtes bien sûr responsable de la bonne tenue de vos invités.— Bien entendu, chère Madame, lui répond-il en lui baisant la main. La femme les précède dans un vestibule, puis franchit une porte dans laquelle ils s’engouffrent. Une immense salle s’ouvre à eux : un lounge, tout en longueur, au décor résolument contemporain, aux lumières légèrement tamisées. Du côté gauche, des alcôves en demi-cercle – ou plutôt demi-ellipse – se succèdent tout au long de la pièce, sans autre ...
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