1. Le lounge du porte-jarretelles


    Datte: 01/04/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme

    ... séparation que le haut des banquettes de cuir noir. Sur le mur, quelques photos en noir et blanc, très belles, de jambes de femmes en porte-jarretelles et bas. Au centre de ces alcôves, des tables basses en verre sur lesquelles repose une vasque remplie de glaçons et d’une bouteille de champagne. Le mur de droite n’est qu’un long miroir couvrant la paroi en totalité. Entre cette paroi et les alcôves, un couloir de deux mètres de large parcouru par les convives et les serveuses. Le sol est fait d’un carrelage très sombre imitant du plancher. Quelques couples sont déjà installés, sirotant un cocktail ou du champagne. Les hommes sont tous en costume-cravate. Nicole découvre que les femmes qui les accompagnent ont toutes les jambes croisées très haut, découvrant largement des bas tendus par des jarretelles. L’une d’elles, dans la cinquantaine semble-t-il, les genoux écartés et la jupe remontée à la taille, se laisse caresser la cuisse par l’homme qui l’accompagne. Une musique lancinante de lounge, accompagnée de la voix suave d’une chanteuse, rend l’atmosphère électrique. Le lieu est maintenant plein ; manifestement, l’alcôve qu’ils occupent leur était réservée. Les femmes installées entre les deux hommes, le boss commande du champagne. Nicole, un peu inquiète, se demande dans quel endroit ils se trouvent. — Où sommes-nous, Monsieur Picard ? Ce n’est pas une boîte libertine j’espère ?— Non, non, Nicole, ne soyez pas inquiète. Ici pas de pénétration : que des… caresses, je ...
    ... dirais. Je vais vous expliquer ; mais avant, buvons une coupe à votre réussite. Nicole trempe les lèvres dans la flûte puis fixe les bulles qui montent en éclatant à la surface du liquide. Pas vraiment à l’aise, elle décide de finir le verre d’un trait, lui rafraîchissant la gorge. Déjà l’alcool provoque en elle un léger étourdissement, lui donnant un effet de bien-être. Les cuisses sagement croisées, la jupe les couvrant presque entièrement, elle examine le décor puis, grâce à l’immense miroir qui lui fait face, les couples installés dans les autres banquettes. L’intensité lumineuse du lounge vient de baisser légèrement. Le volume de la musique n’a pas changé, mais la voix de la chanteuse est de plus en plus suave. Bien que la décoration soit faite pour que les clients se sentent à l’aise, l’atmosphère est électrique : personne ne parle, mais chacun, chacune sait bien que quelque chose va se passer. — Cet endroit est en effet un peu, dirons-nous, particulier. Vous ne trouverez pas l’adresse de ce lounge sur le Web ; il s’agit d’un club très privé. Les tenues vestimentaires sont imposées : costume pour les hommes. Quant aux femmes, robe ou jupe, porte-jarretelles, bas, et escarpins de bon goût sont impératifs. Il s’agit d’un club pour les inconditionnels du porte-jarretelles. Les bas autofixants ne sont pas autorisés. Pour rassurer Nicole, ici aucun comportement hard n’est toléré.— En êtes-vous certain ? l’interrompt Nicole. Dans l’alcôve à notre gauche, la femme a les jambes ...
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