1. Le lounge du porte-jarretelles


    Datte: 01/04/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme

    ... moi aussi. J’aimerais qu’il me touche un peu avant, et… » — Ma chère Nicole, vous savez ce que j’attends de vous, n’est-ce pas. Vous aimez me montrer vos formes de femelle ; vous le faites avec une telle impudeur, une délicieuse impudeur… C’est terriblement excitant, pour vous comme pour moi d’ailleurs !— Oui, je veux bien l’avouer, mais… Il la coupe : — Montrez-moi vos nichons, vos merveilleux nichons ! Alors, désinhibée par l’alcool, encouragée par l’ambiance lubrique du lieu, de nouveau quelque chose craque en elle : gracieusement, elle sort un sein puis l’autre des bonnets de son soutien-gorge et retire sa veste, exposant les deux globes aux yeux de tous. Jetant un regard à droite, elle aperçoit un couple accoudé sur la séparation des alcôves qui l’observe. Le boss, Patrick, Eléanore, tous ont les yeux braqués sur elle. Elle n’aurait jamais cru que d’être regardée puisse avoir une si forte incidence sur la montée de l’excitation. Eléanore, qui a descendu une main entre ses cuisses, fait glisser ses doigts le long de sa fente. — Nicole, vous êtes une ravissante femelle ; ma femelle préférée. Avec vos deux globes lourds qui tressautent au moindre mouvement, vous êtes très excitante. « Il m’a appelé "sa femelle" ; il me traite vraiment comme une salope. C’est… c’est dégradant, et excitant ! » — Voyez à quel point vous me faite bander ! dit-il en extirpant du pantalon sa queue tendue. À la vue du sexe bien dur de son boss, elle lui tend ses seins. — Tenez, servez-vous. ...
    ... Occupez-vous de "votre femelle", comme vous dites ! Englobant les deux seins, il les fait bouger, joue avec les bouts, caresse, pince légèrement les mamelons durcis. Elle gémit, cherche le désir qu’il éprouve d’elle en le fixant des yeux. — Vous en voulez plus ? Voulez-vous que "votre femelle" vous montre sa chatte velue, comme le ferait une salope ? Alors elle se lève, et fixant le boss dans les yeux, elle baisse sa culotte, la lui tend. — Tenez, j’espère qu’elle sent assez fort pour vous. Puis, comme l’a fait Eléanore, elle s’allonge entièrement sur la table de verre et ouvre largement ses cuisses, offrant son intimité aux yeux de tous.« Mon Dieu, je suis folle de faire ça… Je suis devenue une dépravée, comme eux tous ! Je voudrais qu’il me lèche, ce salaud… » Eléanore la regarde, puis s’adressant au boss : — Elle est belle.— Oui, elle est belle. Obscène et belle ! Il l’observe, sans bouger, la queue à l’air. Les secondes s’écoulent. Ouverte, impudique, aux yeux de tous, Nicole est dans un état d’excitation à la limite du délire.« Les salauds, les salauds… Ils voudraient tous me baiser… baiser la salope ! » Sous la pression des regards, elle a la sensation que sa chatte dégouline ; le liquide s’écoule, humidifiant la raie des fesses. Enfin il se courbe, agrippe les cuisses gainées de nylon, colle sa bouche sur la fente aux lèvres boursouflées et gorgées de mouille. Nicole gémit, caresse les cheveux de l’homme qui la lèche. Eléanore se penche vers elle et l’embrasse fougueusement. ...
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