1. Symphonie érotique pour une grosse


    Datte: 03/04/2020, Catégories: ffh, fbi, couplus, voisins, gros(ses), grosseins, groscul, intermast, Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    A 42 ans, je n’avais pas d’enfant, pas de mari, pas de petit copain, j’étais ce que l’on appelle une vieille célibataire endurcie. En dehors de son boulot, pas une femme ne se dévouait autant que moi pour les œuvres charitables, pour les associations à but non lucratif, pour les groupements réclamant beaucoup de bénévolat. D’un naturel actif, je ne pouvais demeurer dans mon appartement en me croisant les doigts. Pourquoi cette affreuse solitude ? Parce que j’étais énorme, et que je n’inspirais ni amitié, ni désir, ni tendresse. Je mentirais si je disais que je n’étais pas complexée. J’avais honte de mon corps et je comprenais tout à fait, qu’étant si grosse, pas un homme ne pouvait s’intéresser à moi. J’avais essayé des tonnes de régimes avant de les abandonner et de retomber, dépitée, dans ma boulimie. Il y a un an, s’est produit événement qui, s’il m’a tout d’abord horrifié, m’a finalement apporté plaisir et bonheur. Un affreux guet-apens m’a été tendu par ma superbe voisine et par son chenapan de mari. J’habite depuis toujours au cinquième étage d’un grand immeuble de la banlieue parisienne. Moderne sinon luxueux, il y a cinq appartements par palier. Il y a environ deux ans, un des propriétaires de notre étage a vendu et un jeune couple est venu s’installer à sa place. Je ne fréquente pas beaucoup les habitants de l’immeuble mais avec Alain et Christine, ça a tout de suite accroché à tel point que quelques semaines plus tard ils m’invitaient déjà à dîner. Un jeune ...
    ... couple charmant d’une trentaine d’années, des gens ouverts et sympathiques, c’est tellement rare de nos jours. Lorsque j’étais partie une dizaine de jours en stage de formation à l’automne, j’avais laissé un jeu de clefs à Christine pour qu’elle arrose les plantes. Lorsque qu’elle avait voulu me les restituer, je lui avais dit de les garder, au cas où. Toujours est-il que le couple, disposant des clefs de mon appartement, a facilement pu s’y introduire en mon absence et se cacher dans ma chambre avant que je ne rentre de mon boulot. C’est là que j’ai découvert ces deux charmants voyous alors que j’étais toute nue après ma douche et que je voulais enfiler un peignoir. Je ne suis pas cardiaque, fort heureusement. C’est vraiment terrible d’apparaître nue, énorme et laide. En outre, c’est fort troublant de contempler les testicules et le membre bandé du voisin qui, à poil, occupe la moitié du lit et affiche un air effronté ! Enfin ça fiche un coup au cœur de voir la vulve très fournie en pelage noir d’une femme qui vous vampe avec obscénité, moitié assise, moitié couchée sur l’autre partie du lit ! Christine me bravait du regard en m’offrant l’exacte géographie de son coquillage. Le couple audacieux comptait exacerber mon indignation et mon effarement en me livrant d’emblée ce qu’il avait de plus secret. Je n’avais connu que deux hommes et dans quelles pénibles circonstances, de sorte que les organes d’Alain firent leur effet. Je n’avais jamais vu la chatte d’une fille, celle de ...
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