Symphonie érotique pour une grosse
Datte: 03/04/2020,
Catégories:
ffh,
fbi,
couplus,
voisins,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... Christine me fit trembler d’envie. J’étais bloquée, comparé à leurs corps, le mien était affreux. J’avais soudain honte de mes lourdes mamelles, de ma panse au triple bourrelet, de mon tour de hanche éléphantesque, de mes fesses gigantesques. Qu’ils étaient beaux, eux, à côté de moi ! J’étais partagée entre une légitime excitation et le chagrin d’être moche. En tout cas, les époux ne s’étaient pas contentés de paroles, ils passaient aux actes et me provoquaient ouvertement. Je leur avais ri au nez quelques jours auparavant lorsqu’ils avaient juré qu’ils voulaient faire l’amour avec moi, car leur fantasme était de se rassasier d’une abondante chair féminine. On rencontre de tous les goûts dans la nature, pas de quoi s’offusquer. Mais là, il s’agissait de moi. On ne raisonne plus de la même manière lorsque l’on est soi-même concerné. Je les avais écoutés sans trop m’offenser, car nous avions abusé d’alcool et de vin au cours d’un repas copieusement arrosé. Ils avaient tenté de me faire fléchir en profitant d’une certaine permissivité due à la boisson. Ils n’avaient pas réussi ce soir-là, mais ils n’avaient pas capitulé. La preuve, ils étaient à présent dans ma chambre, sur mon lit, et leur attitude ne laissait aucun doute. Ce qui m’a fait craquer, c’est le culot d’Alain : Il a saisi son membre et l’a secoué devant mes yeux écarquillés. Puis, Christine a dit : — Ça ne te tente pas ? Il a pas une belle bite mon mari ? Et ses grosses couilles bien pleines de jus… Je n’ai pas voulu ...
... qu’il me fasse l’amour depuis notre conversation de l’autre jour, tu te souviens ? Il a envie de toi, et moi aussi. On te l’a déjà dit : C’est toi que l’on veut, toi avec tes pastèques, toi avec tes jambonneaux, toi avec ton gros cul de fermière, toi avec tes bourrelets et ta cellulite. On ne se moque pas de toi, on t’aime, on te désire tout simplement Décidée à me faire fondre, elle se chatouilla le bouton puis ajouta : — On va te bouffer la chatte, on va te lécher le cul, on va s’amuser avec tes nichons comme avec une bonne pâte. Ça ne te dit rien de déguster ma petite moule ? De défricher mes poils pour dégager mes lèvres roses ? Te téter la bite de mon mari ? Allons, sois cool, laisse-toi aller. Alain va te baiser et il me baisera aussi, ce sera bon J’étais au bord des larmes, mon émotion grandissait et m’affolait. Alain quitta brusquement le lit et s’approcha de moi. Mes yeux s’abaissèrent au niveau de son ventre, son dard me subjuguait. A cinquante centimètres de mon nombril, il s’arrêta, le gland menaçant, orgueilleux, puissant. Alain s’était immobilisé comme s’il ne voulait pas me forcer à quoi que ce soit. Quelques secondes plus tard, c’est ma main droite qui s’enroulait autour de sa hampe. Ce fut ma perte et mon bonheur. Ma fête aussi ! Le lendemain je fus incapable d’aller au boulot. Quelle tête j’avais ! Le couple s’était régalé toute la nuit de mes opulences exagérées. Leur désir n’était pas du baratin, Christine et Alain rêvaient vraiment d’une femme obèse, ils ...