1. Café Arabica


    Datte: 26/09/2017, Catégories: fhhh, hagé, couleurs, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    Je m’appelle Béa, je suis blonde et plutôt mignonne ; je vis à Montpellier, j’ai vingt-quatre ans et mon ami soixante-deux. Lors d’une virée estivale dans la capitale, tard dans la soirée, nous nous sommes retrouvés dans une petite rue, devant l’entrée d’un bar plutôt miteux, d’où entraient et sortaient plusieurs Nord-Africains. Un petit groupe fumait et discutait en arabe. Notre arrivée fit sensation ; il faisait assez chaud et ma tenue était assez légère, une courte jupe et un chemisier échancré. Le petit groupe s’écarta pour nous laisser passer, les regards s’attardant sur ma silhouette. L’entrée était curieuse car elle donnait directement sur un étroit escalier, tournant et descendant d’une manière abrupte ; il ne fallait surtout pas rater une marche ! Un homme s’apprêtait à monter pour sortir, mais lorsqu’il vit mes jambes, il sembla se raviser et resta au pied de l’escalier, bouche bée… Les conversations cessèrent à mon apparition. Sous les regards gourmands et concupiscents, je sentis une douce chaleur envahir mon bas-ventre. La salle était assez petite ; d’un côté, le bar avec de hauts tabourets ; de l’autre, banquette murale, tables et chaises. En fond sonore, une lente musique arabe… Je restai un instant immobile et mon ami me poussa vers le comptoir en mettant sa main sur ma hanche. Je me hissai sur un tabouret, découvrant un peu plus mes cuisses, sous tous ces yeux avides guettant le moment où je m’écarterai davantage… Ce qui ne tarda pas. Mon compagnon ...
    ... m’embrassa dans le cou, puis me murmura à l’oreille : — Fais-les bander. J’étais toute moite entre les cuisses ; je croisai haut mes jambes, découvrant mon string et troublant la partie de dominos qui se déroulait à la table en face de moi. Le joueur le plus proche en fit tomber quelques-uns par terre et se baissa rapidement pour les ramasser ; il mit beaucoup plus de temps pour se redresser… Il est vrai que, l’air de rien, j’avais à nouveau et très lentement décroisé et recroisé mes genoux, lui laissant amplement le temps d’admirer ma fente soulignée par mon string moulant et déjà humide… Le patron, un grand costaud chauve et moustachu d‘une soixantaine d‘années, nous servit nos consommations en ne se gênant pas pour reluquer ma poitrine. Mon ami, derrière moi, en m’embrassant et en me chatouillant, en avait profité pour faire sauter deux boutons ; et comme je ne portais pas de soutien-gorge… Mon ami, se tenant toujours derrière moi, avait une main sur mon ventre et l’autre sur ma cuisse ; il essayait de remonter ma jupe, sous le regard intéressé des joueurs de dominos. Je retenais sa main, mais inexorablement celle-ci remontait, entraînant la jupe… L’attention pour les dominos avait faibli ; par contre, elle était montée concernant mes cuisses. Le patron, lui aussi, s’était penché sur son comptoir et ne perdait pas une miette du spectacle. Suivant ma position, la pointe d’un sein apparaissait… Il commençait à se faire tard ; certains clients étaient partis et il ne restait que ...
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