1. Café Arabica


    Datte: 26/09/2017, Catégories: fhhh, hagé, couleurs, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... chatte ; mes cuisses étaient maintenues grandes ouvertes par les autres, et tous regardaient ce va-et-vient et mes réactions… Mes gémissements, mes cris et les mouvements de ma tête, à droite et à gauche, témoignaient du plaisir que je prenais. J’avançai mon bassin, je me soulevai pour aller au-devant de la pénétration… Quelle jouissance ! — J’ai envie de sucer. Quelques secondes suffirent pour que je me retrouve face à cinq queues plus grosses les unes que les autres… Mon ami se branlait doucement en regardant, et je savais que là, il allait particulièrement apprécier. Il adore me voir pomper et avaler des grosses bites jusqu’à l’éjaculation ; il sait que j’aime recevoir de fortes décharges dans ma bouche, et c’est encore mieux quand il regarde. Je me mis à genoux, et la première que je pris fut celle du patron, qui était conforme au personnage : monstrueuse. Je le regardai, puis passai doucement ma langue sur son gland, la faisant tournoyer autour, puis je descendis le long de la hampe, m’amusai avec ses gros testicules et remontai, toujours avec ma langue ; puis, arrivant à nouveau sur le gland, je l’engloutis tout entier. Il gémit fortement et sa main puissante se posa sur ma tête ; je crus étouffer. Celui qui était très foncé s’était rapproché et je changeai pour une noiraude plus courte, mais épaisse ; je sentis qu’il appréciait énormément, puis je pris les trois autres, suçant et branlant. Je pris deux queues en même temps, essayant de prendre les deux glands ou ...
    ... alternant rapidement de l’un à l’autre… Puis ils me firent monter sur une table et me prirent l’un après l’autre pendant que je suçais toujours une bite ou deux… puis sur la banquette. Le patron s’allongea et je vins m’empaler sur lui ; celui qui était très foncé chercha à me sodomiser et y parvint. Il restait trois queues ; mais vu la position sur la banquette étroite, je ne pouvais en sucer ou branler qu’une seule. Le patron alla donc chercher une couverture et l’installa par terre. Là, nous pûmes nous installer plus confortablement, et je pus m’occuper de toutes ces queues, prise en double pénétration, couchée et empalée sur le patron. Le noiraud pouvait me sodomiser à son aise pendant que je suçais et branlais les trois autres. Mon ami se masturbait toujours, se régalant de me voir ainsi bien baisée par ces cinq hommes… Celui que je suçais émit les premiers signes d’une proche jouissance ; j’accélérai alors jusqu’à ce que je sente le point de non-retour. Il jouit alors abondamment par de fortes décharges et me remplit la bouche de sperme chaud. J’avalai tout ce que je pus, mais le trop-plein déborda de mes lèvres sur mon menton et mon cou… Puis les deux autres que je branlais se disputèrent ma bouche ; je les pris tous les deux alternativement, et ils ne tardèrent pas à gicler dans ma bouche et sur mon visage. Mon ami se branlait de plus en plus vite ; je voulais le sucer aussi, qu’il se répande dans ma gorge… Le patron me souleva littéralement en jouissant ; il gicla en de ...