1. Mon anniversaire


    Datte: 04/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    C'est bientôt mon anniversaire. Ma copine depuis toujours me propose son cadeau d'avance. Ses parents doivent partir en amoureux pour une semaine, juste à ce moment. Ils sont d'accord pour ce que veux m'offrir leur fille: je peux disposer du "château" familial, en vérité une grosse bâtisse à 15 kilomètres de notre ville. Dès l'avant-veille nous préparons les festivités. Arlette ; ma copine, m'aide à préparer et les lieux. Le repas lui est commandé chez un traiteur. La veille au soir de la fête, Arlette dîne rapidement et par se coucher pour récupérer avant le lendemain. J'entend la douche un moment très court, et plus rien. Je monte la voir dans sa chambre: elle dort à poings fermés. J'aurais bien voulu bavarder un peu: c'est râpé. Tant pis j'irai faire un tour dans le bois juste à coté. Je connais le coin pour y être souvent venue. Je me dirige vers les écuries, pour aller caresser les chevaux. Les deux animaux sont à la recherche d'un câlin. Je les satisfais en leur passant une main sur la tête. Je vais sortir de leur enclos quand je tombe nez à nez avec le fils du fermier: je ne le connais que comme un exhibitionniste: déjà l'autre année en passant devant la ferme, il me montrait sa queue en bandant. Il me proposait même de me baiser. Son visage plein de boutons me faisait horreur. Cette année, il semble aller bien mieux tant coté visage que démonstration excessives. Il me regardait quand même avec envie. S'il pensait que j'allais cédé a à son désir, il se trompait ...
    ... beaucoup. J'haussais les épaules en le laissant. Ce n'est que plus tard en me couchant que je pensais à lui. Finalement il n'était pas si moche que ça. J'aurais pu lui donner ne serait-ce qu'un baiser. J'aurais pu…………….je mettais ma main là où je me fait jouir. Je me branlais en faisant durer le plaisir un maximum. J'avais son corps en face de mes yeux: il bandait et il me baisait. C'est au moment où il entrait en moi que je jouissais. Du coup je me trouvais comme Arlette; totalement vide. Je me levais le lendemain un peu tard. Arlette était déjà en train de préparer le petit déjeuner. Je lui faisait par de ma rencontre avec le fils su fermier. - Fais gaffe à lui, il cherche les pires combines pour essayer de baiser. - Il n'a rien dit ni fait. - Tu es sure que l'an dernier il ne s'est pas montrer nu ? - L'an dernier, si, pas hier. Tu ne pers rien pour attendre. La conversation venait sur la fête. Qui s'était décommandé, vers qu'elle heures devrait elle finir. Nous revenions sur des détails déjà abordés. Enfin l'heure tournant, mes premiers invités arrivaient. Nous les réunissions tous sur la terrasse avec une boisson qu'il pouvait choisir. La plus part se contentait de sodas, quelques uns buvait plus facilement des alcools. Vers 13 heures le traiteurs venait : il servait lui-même. C'était bien plus agréable d'être servis. Pour finir, juste avec le gâteau il servait le champagne. J'étais satisfaite de ce début de fête. Arlette, avec son copain du moment faisait tourner les CD. Le ...
«1234»