1. Mon anniversaire


    Datte: 04/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ce que je pouvais dans ma bouche: je le tétais longuement en faisant des arrêts pour faire durer son premier plaisir avec une fille. Je le sentais se tendre. Je sentais le liquide que tout homme dégage juste avant de jouir. J'aurai peut être ne pas le garder dans ma bouche. Quand il jouissait je récupérais son sperme. Au moins il se souviendrait qu'in fille peu avaler le sperme d'homme. Comme il débandait, je m'arrangeais pour lui donner les caresses que je pensais devant recevoir pour bander encore plus. Je gardais sa bite dans ma bouche. Je lui caressais les couilles dures et enfin pour le faire bien durcir, je lui mettais un doigt dans le cul. Enfin il retrouvait sa forme. Je pouvais me faire baiser. J'écartais les jambes en le faisant venir sur moi. Nous nous embrassions encore. Je lui prenais la bite en main pour le guider vers ma moule. Je devais le retenir: il voulais entrer directement. Je l'en empêchais: je voulais mouiller encore un peu. C'Est-ce que je me forçais à croire: je voulais simplement retarder un peu l'accouplement. Quand enfin il me la mettais c'était une délivrance: il me tardais tant que je jouissais aussitôt avec sa bite juste à l'entrée. Il a réussit à me faire jouir plusieurs fois sans qu' lui ne le fasse. Je me tournais en lui présentant mes fesses. Je voulais une baise intégrale: je lui donnais mon cul. Je me mouillais entièrement. Je prenais encore sa queue pour la mettre sur mon anus, j'ouvrais bien mes fesses: je ne m'étais pas faite sodomiser ...
    ... depuis un moment. Je me détendais pour qu'il rentre sans problème. Il ne me la mise que quand je le lui ai demandé. Il semblait l'avoir fait depuis toujours: il allait à fond dans mon cul. Je sentais ses poils contre mes fesses. Il ahanait pendant que je soupirais de plaisir. Je participais à mon propre plaisir en me branlant. Il me faisait jouir comme une folle. Je sentais son sperme qui remplissait mes boyaux. C'était tellement bon que je ne voulais pas qu'il sorte de mes entrailles pourtant il débandait dans mes fesses et devait me quitter. Il se faisait tard quand nous descendions. Presque tout le monde était parti. Il ne restait qu'Arlette et son copain qui pendant que je baisais était devenu son amant. Sans gêne nous échangions nos impressions de baise devant nos amis qui en étaient gênés. Entre les échanges d'impressions et l'excitation il n'y a pas loin. Les garçons se regardaient un peu inquiets sur la suite. Avec Arlette nous devinions où nous allions. Les garçons pour le moment ne nous étaient d'aucun secours. Nous pouvions nous passer d'eux. Nous le montrions sans aucune fausse pudeur. Nous nous sommes embrassées longuement; sa langue était meilleure que celle de celui que j'avais dépucelé. Nous nous sommes pelotées longuement, mises nues presque aussitôt. Nous nous sommes installées sur la terrasse, sur une couverture pour nous masturber et ensuite nous sucer. C'était très rare que nous baisions ensemble. Nos langues trouvaient à nouveau un ancien endroit connu. ...