1. Une semaine à oublier 2/3


    Datte: 26/09/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Pierre mon mari est excédé par mon comportement et suite à sa volonté de me punir je suis captive et maltraitée dans une propriété depuis le lundi. Le jeudi: Il pleut je pense que je vais passer la journée enchaînée dans le cachot mais je me trompe. Après avoir revêtu un imper et chaussé des bottes car il ne veut pas se mouiller pour "une salope comme moi" il me sort nue à l'extérieur.Je dois mettre les bras vers l'arrière et il attache mes poignets à la colonne d'un lampadaire au bord de l'allée qui mène à son habitation. Je suis à la vue de personnes qui entreraient dans la propriété ce qui m'angoisse. Mathieu sort sa voiture du garage pour aller travailler et s'arrête à ma hauteur. <<tu as l'air de te plaire là, au moins tu seras bien lavée aujourd'hui, je te souhaite une bonne journée>>. Il démarre en riant aux éclats. J'ai la chair de poule et bien qu'il ne fasse pas froid je frissonne à cause de la pluie qui cingle mon corps et des bourrasques de vent. La pluie ne cesse pas, au contraire elle est de plus en plus abondante, le temps me paraît bien long et je me sens mal. le temps passe, quelqu'un ouvre la grille à l'entrée de la propriété et vient vers moi, c'est une femme d'un certain âge chaussée de bottes et protégée par un imperméable. Elle s'arrête à côté de moi et m'examine des pieds à la tête. <<ce n'est pas un temps à mettre un chien dehors mais toi ça n'a pas l'air de te gêner>>. Elle continue son chemin, ...
    ... entre dans la maison et n'en ressort qu'après un bon moment. Elle s'arrête encore à côté de moi. d'une main elle écarte mes cheveux collés sur mon visage, elle tire sur mes tétons à les arracher puis met un doigt dans mon intimité. <<il avait raison Mathieu quand il m'a dit qu'il s'était dégoté une belle putain qui lui obéissait au doigt et à l'oeil comme une bonne chienne>>. Bâillonnée je ne peux pas lui répondre. <<c'est moi qui prépare les repas de ton maître et à cause de toi j'ai du travail en plus, cela ne me plais pas et tu vas me le payer vendredi. Heureusement pour moi que le midi tu sois à la diète>>. Elle s'éloigne, je ne comprends pas ce qu'elle a voulu dire. La pluie a cessée depuis peu de temps et le soleil est revenu, il fait très chaud quand mon maître rentre de son travail plus tôt que d'habitude. Il m'amène dans le salon ou il me prend en levrette. <<tu ne bouges pas de la journée et à ne rien foutre de tes dix doigts tu vas engraisser, je vais te promener dans la propriété>>. Il oublie volontairement que je ne mange pas le midi. Bâillonnée, les poignets et chevilles entravées par les menottes il me promène en me tenant en laisse. Je ne peut pas faire de grands pas car la chaîne qui relie les bracelets des menottes qui entravent mes chevilles est courte. Parfois il m'invective et m'oblige à trottiner, dans les endroits ombragés ça va mais quand il s'arrête, ce qu'il fait plusieurs fois, c'est en plein soleil et je sens la brûlure des rayons solaires sur mon ...
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