1. Une semaine à oublier 2/3


    Datte: 26/09/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... Pendant ses montées de plaisir elle m'insulte copieusement et je reçois des claques sur les fesses. Quand je vois qu'elle reste inerte à force de jouir je me lève et attends à côté du lit qu'elle récupère pour me ramener à mon maître. Elle finit par de relever et se rhabiller. <<tu n'est qu'une salope et une feignante, tu m'as déshabillée et tu n'es pas capable de me rhabiller, ton dressage laisse à désirer>>. Nous retournons dans le salon. <<et bien Mathieu c'est un sacré engin ta putain, cela faisait de nombreuses années que je n'avais pas joui comme ça. Si j'avais sue qu'elle était aussi bonne je serais venue tous les jours prendre du plaisir>>. <<cette truie est là pour ça, m'obéir et donner du plaisir à qui je veux quand je veux mais malheureusement elle va être trop occupée les jours à venir et elle ne pourra pas satisfaire tes envies>>. <<dommage. Est ce qu'elle sait se masturber>>. <<on va voir. Toi la putain allonges toi par terre et fais toi jouir>>. J'obéis et ils me regardent masturber mon clitoris ce qui me gène. <<plus vite et plus fort tu n'es pas en sucre>>. J'accélère les mouvements de mes doigts et appuie plus fortement sur mon bouton. Le plaisir monte dans mon ventre mais moins vite que quand c'est un homme qui me martyrise. Ils parlent entre-eux et se moquent de moi puis Amandine qui n'est pas patiente prend les choses en main. <<tu n'es pas douée la pute, je vais te montrer ce qu'est une masturbation>>. Elle se positionne à genoux et se met à ...
    ... masturber mon clitoris violemment, le plaisir que je ressens devient de plus en plus intense, finalement mon corps se tend et les spasmes accompagnent les jets de cyprine qui sortent de mon vagin pendant que j'ai un orgasme. Amandine se relève. <<tu vois que ce n'est pas difficile de se faire jouir, salope tu as salie ma main avec ta cochonnerie de mouillure>>. Amandine s'en va après avoir bu un verre d'apéritif. Mathieu ne pouvait pas trouver mieux que cette femme peu ragoûtante et méchante pour m'humilier. Pourvu qu'une punition ne me ramène pas ici car elle s'arrangera pour s'occuper de moi, m'en faire baver et me frapper. <<maître je voudrais me laver>>. <<pourquoi faire>>. <<je sens trop mauvais>>. <<pour la truie que tu es, ça ne change rien par rapport à d'habitude>>. <<mais monsieur...>>. je n'ai pas le temps de terminer ma phrase qu'il met la boule bâillon dans ma bouche et tourne la vis pour la faire gonfler écartelant mes mâchoires et me réduisant au silence. <<ce n'est pas une putain comme toi qui va me commander, tu m'énerves à n'être jamais contente de ton sort, allez direction le cachot>>. De nouveau je me retrouve enchaînée contre le mur les chaînes tendues sans liberté de mouvements dans le noir. <<maintenant tu vas me foutre la paix un moment>>. Après une attente interminable Mon geôlier revient, je me retrouve allongée sur le plaid bras et jambes attachés par des sangles. Il se couche sur moi et me pénètre sans précautions, il me défonce avec des coups de reins ...