Ma tentation incestueuse (2) - Histoires de Sexe

Ma tentation incestueuse (2)

Le lendemain matin, il était à peine plus de 11 heures lorsque je me suis levée. J’avais dormi comme un bébé ; je me sentais reposée et en pleine forme, ça faisait longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi bien. En sortant de ma chambre, je constatai que mes parents étaient partis au boulot, et je ne pensais plus aux évènements qui s’étaient déroulés la veille. Après avoir rapidement avalé un petit café sans m’être couverte – vu qu’il faisait assez chaud dans la maison et sachant que je ne suis pas de nature trop frileuse – j’allais pouvoir profiter de l’absence de toute la famille pour me préparer à mon rythme avant de sortir faire les achats de Noël lorsque j’entendis mon frère m’appeler. — Frangine, est ce que t’es levée ? « Oh c’est pas vrai ? Moi qui espérais être seule et peinarde, c’est loupé ! » L’appel de mon frère me ramena à la réalité. — Ouais, t’es où, qu’est ce que tu veux ? — Je suis dans la salle de bain. Tu peux venir s’il te plaît ? J’ai un petit problème. — T’as un problème ? Quel genre ? — Viens, j’ai besoin de toi. S’il te plaît, c’est important ! insistait-il lourdement. — OK, j’arrive, c’est bon, y a pas le feu ! lâchai-je en me levant de table. Je le rejoignis dans la salle de bain et le vis en peignoir, adossé au lavabo, les bras croisés. — Alors, qu’est ce que tu me veux ? C’est quoi ton problème si urgent ? T’as du mal à la trouver ? Tu veux que je te donne une loupe peut-être ? lui demandai-je sur un ton plein de moquerie. — Écoute, j’aimerais ...

... te parler, si ça ne t’ennuie pas. — Pardon ? Attends, dis-moi que je rêve ! Tu m’as fait venir ici simplement parce que tu veux me parler ? C’est ça ton problème ? Non mais, tu te fous de ma gueule ou quoi ? grondai-je. — Si je t’ai demandé de venir, c’est parce que j’aimerais qu’on parle de ce qui s’est passé hier soir, parce que j’ai pas été très honnête avec toi, m’annonça-t-il. — Ah OK, j’ai compris. Tu me parles du fait que je t’ai grillé à mater un porno, hier soir ? Attends, c’est bon, t’as le droit de regarder ce que tu veux, tu sais, c’est pas mes oignons ! — Non. En fait, je savais que t’étais derrière moi et j’ai cru m’apercevoir que tu me regardais me caresser, m’annonça-t-il comme s’il avait eu honte. — Ah euh... Ben oui, je t’ai vu, balbutiai-je. Mais c’était juste un petit accident, ça m’avait juste attiré le regard, rien de plus. Et puis tu sais, des queues, j’en ai vu d’autres... Pourquoi ? — Ça t’a fait quoi ? me demanda-t-il de but en blanc. — Hein ? Pardon ? répliquai-je, à la fois décontenancée et troublée par sa question. Où est-ce que tu veux en venir ? Je ne te suis pas... — Je te demande ce que ça t’a fait, c’est simple. Est-ce que ça t’a dégoûtée ? Ça t’a fait ni chaud ni froid ? Ou est-ce que ça t’a excitée, comme je l’imagine ? — Non mais, t’es vraiment pas bien de me poser ce genre de question, toi ! dis-je en faisant mine de m’offusquer. Qu’est ce qui te prend ? Ça va pas ? Tu sais que tu t’adresses à ta sœur, je te rappelle. — Oui, mais tu n’as ...