1. Ma tentation incestueuse (2)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... pas de mec depuis longtemps, et ne me dis pas que ça ne te manque pas, parce que je ne te croirais pas. En plus, hier soir, je peux t’assurer que je t’ai entendue gémir. Et tu sais quoi ? Ça m’a tellement excité de t’entendre que si les parents avaient dû s’absenter pour une raison ou pour une autre, j’aurais cherché à te rejoindre, me dit-il d’un ton devenu ferme. — OK, t’as gagné, je me casse ! dis-je, faussement furieuse, en me retournant pour partir, tentant de masquer mon excitation naissante. « Il m’a entendue ? Merde, mais comment il a fait ? » J’avais pourtant mordu l’oreiller comme une malade pour ne pas ameuter toute la maison, mais il semble que ça n’ait pas suffit, la preuve. Faut dire que sa chambre est juste à côté de la mienne, et les murs n’ont pas une grosse épaisseur. Je me sentais honteuse, mais excitée par ce qu’il venait de me dire. Il m’attrapa par le bras, me fit me retourner avec fermeté et attira ma main qui se plaqua directement sur son sexe en érection. Il n’avait pas mis de sous-vêtement, je le sentais, et ce contact me troubla davantage : j’étais comme paralysée. J’en rougis atrocement, je sentis ma petite chatte rasée s’humidifier très dangereusement, mes seins gonfler et les tétons se dresser. Il a dû se rendre compte de mon état parce que sa voix se fit douce et il plongea ses yeux dans les miens en m’enlaçant tendrement. — Calme-toi, Cécile, s’il te plaît. Je t’assure que tu n’as pas à avoir honte... me rassura-t-il. Tu as souvent fantasmé ...
    ... sur moi, je le sais ; c’est réciproque, et ça remonte à un bon moment. Toi et moi, je suis certain qu’on s’attirait mutuellement, mais nous n’avons jamais osé nous l’avouer, ce qui est normal. Tu sais, ma femme est enceinte jusqu’aux yeux, et je n’ai plus d’activité sexuelle depuis un bail à cause de ça : elle se refuse à moi par crainte pour le bébé. — Pourquoi tu me dis ça, tout à coup ? Qu’est ce que tu veux de moi ? lui demandai-je doucement, la colère m’ayant tout à coup quittée. — Devine, ma petite sœur chérie... dit-il en me caressant doucement le visage. Tu veux du plaisir ? On peut tout à fait s’en donner dans le plus grand secret, et je te promets que jamais personne ne sera au courant de quoi que ce soit, si c’est ça qui t’inquiète. Ni Sophie, ni les parents, absolument personne ; je te le jure sur ce que j’ai de plus cher au monde. — Mais tu n’arrêtes pas de gueuler sur tous les toits que tu aimes ta femme ; c’était un mensonge, alors ? demandai-je d’une voix devenue tremblante. — Pas du tout : je l’aime de tout mon coeur, ce n’est pas la question. Mais toi, tu as quelque chose d’unique qu’aucune femme au monde ne possède. Mais si tu veux t’en aller, alors tu le peux, je ne t’en empêcherai pas, me dit-il en me lâchant. — T’avais envie de moi depuis combien de temps ? lui murmurai-je comme si j’avais eu peur qu’on nous entende, malgré le fait qu’il n’y avait plus personne d’autre que nous deux dans la maison. — Je ne sais pas depuis combien de temps, à vrai dire ; ...