1. Ivresses exquises (1)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... troisième se poste devant nos trois têtes. Il se met à demi à genoux, juste les jambes fléchies. Sa verge vient cogner sur ma bouche légèrement entrouverte, laissant échapper des flots de gémissements. Le gland rose qui se trouve juste à la bonne hauteur est happé par celle-ci, gourmandise plaisante que je me mets en devoir de suçoter. Dans mes reins, je sens aller et venir le mat qui me lime profondément, avec de grands coups de bassin du propriétaire de la bite. Je ressens le tressaillement étrange de ce pieu et je sais, confusément que la laitance de l’homme va me gicler à l’intérieur. Loin de m’effrayer, cette arrivée pressentie me donne une envie folle de ruer, de me faire défoncer, de garder le plus au fond possible cette liqueur qui vient par petits jets chauds. Il a soupiré et s’est entièrement vidé les couilles, ses mouvements sont moins violents, ses mains sur mes hanches plus relâchées. Et son engin molli rapidement, alors il sort et c’est juste un déchirement pour moi de sentir encore une fois ce vide qui m’étreint. Mais l’attente est de courte durée. Celui à qui je fais une pipe s’esquive d’entre mes lèvres. Aussitôt remplacé par celui qui est depuis le début, en retrait, voyeur sans doute. Les deux orifices sont de nouveau investis, simultanément, et la cavalcade reprend de plus belle. — Putain ! Qu’elle est bonne ! Je le savais que c’était une « chaudasse » ! Nous avons bien fait de la faire payer de cette façon ! Tu te rends compte ! Se laisser tringler par ...
    ... deux queues en même temps et en sucer une autre ? Qui aurait cru cela de cette salope qui nous snobe chaque fois qu’on joue au poker ? Son trou du cul ! Une vraie bénédiction... bien ouvert, assez étroit et maintenant bien huilé par le foutre que tu viens d’y laisser ! Allez les gars ! Nous avons encore deux bonnes heures pour la baiser en long, en large et en travers, cette salope ! — C’est vrai que c’est chaud, elle suce comme une reine, il n’y a rien à redire ! Et sa chatte mes amis, tiens ! Elle va me faire jouir ! Oh ! Oui ! Oh ! Ça y est, je sens que ça vient, oh ! Oui ! Oui ! Là ! Voilà ! Je décharge là ! Là ! Oh oui ! L’homme sous moi, s’enfonce davantage dans cette caverne qu’il veut asperger de son sperme et les giclées que je sens contre le fond de mon ventre, me donnent des sensations bizarres. Je commence moi aussi à partir, alors que celui qui se démène dans mon anus, émoustillé par les paroles de son compère, se retient de justesse de me larguer son foutre dans le trou de balle. En maintenant ma tête dans l’alignement de la tige raide qui me lime la bouche, je n’ai guère de répit pour sucer correctement. Les spasmes de mon ventre débutent d’abord au fond de ma caboche, montent rapidement à leur paroxysme pour descendre et ils viennent éclater en mille bulles au bas de ce ventre qui se laisse outrager. Le premier spasme ne me permet plus de savoir quand je bascule sur le côté, entraînant le cavalier qui m’encule, laissant aussi partir celui qui vient de se finir ...