-
Ivresses exquises (1)
Datte: 05/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... maintenue, coincée par les cuisses de celui qui a gardé son masque vénitien. Celui-là, de deux doigts, me pince le nez. Je n’ai d’autre choix que d’ouvrir la bouche pour respirer et le verre est sur le bord de mes lèvres. — Bois ! C’est un ordre ! N’oublie pas ! Tu dois faire tout ce que je veux, jusqu’à midi ! et il n’est que huit heures du matin. Nous avons encore quelques heures devant nous ! Vaincue, je dois avaler cette répugnante mixture, sous les applaudissements des mecs qui m’ont lâché. Je déglutis avec peine, le liquide âcre et malgré les hauts le cœur qui me submergent, je vide le verre. Mais ce n’est pas suffisant, l’homme masqué prend position au-dessus de moi, se met à genoux, ma tête entre ses cuisses. Il pousse sa verge à demi molle dans ma bouche et je dois lécher cette limace ? Mais il ne veut bien sûr, pas la faire grossir, ce qui serait incompatible avec ce qu’il désire. Je comprends trop tard, ce qui m’attend. Alors que le nœud mou de celui-là est dans mon bec, il finit sa mixtion et il sent bien que je tente de me redresser, pour échapper au jet qui commence à couler lentement dans ma gorge. Il serre les genoux et je suis maintenue dans la position adéquate. Me voilà devenue pissotière pour un type inconnu. Puis la partie reprend, baise et encore baise, je suis mise de partout. Chacun de mes orifices est visité, occupé, puis remis en circuit pour un autre membre de l’équipe. Ils me prennent à tour de rôle dans toutes les positions et le pire de ...
... l’histoire c’est que je suis devenue une bête de cul, une folle de sexe. C’est moi qui ose réclamer, plus vite, plus fort, j’en veux à un tel point que leur queue ne débande même plus. Antoine m’a allongée sur lui, mais je suis sur le dos et il enfonce pour la énième fois sa bite toujours raide dans mon coquillage qui s’adapte à toutes ces belles queues. Je vois l’homme au masque se baisser, écarter le plus possible mes deux jambes qu’il tient bien relevées. Dans l’espace qu’il vient de libérer, alors qu’Antoine laboure tranquillement mon anus qui est tant sollicité, qu’il ne se referme pas entre chaque enculage, l’homme qui me fait face maintenant, approche son gros membre de ma chatte. D’une simple poussée, alors que mon cul est toujours occupé, voilà la mentule qui entre en moi. Sans aucune hésitation, ma gaine souple de femme laisse passer cette chose qui écarte les lèvres, qui se laisse ouvrir comme un abricot bien mûr. J’ai juste le temps de lâcher un soupir que déjà je suis enconnée jusqu’aux couilles de l’homme. Puis l’autre dans mon derrière s’arrête et attend que celui qui me lime fasse quelques allers et retours, avant de synchroniser ses mouvements sur ceux de l’homme au masque. C’est une chose tellement surprenante que d’avoir pour moi ces deux membres qui me possèdent que j’en perds toute raison. Je me mets à hurler, mais de plaisir cette fois… Les assauts répétés des deux hommes qui me prennent, me forcent à crier sans arrêt. Alors comme pour calmer mes braillements, un ...