Ma belle fille m'a séduite 3
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
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Oral
Après notre première nuit d’amour et son installation définitive à la maison, Marjorie et moi décidons de partir en vacances, les enfants étant chez leur père pour la fin d’année. La France nous parut une bonne idée, et Paris, la Ville Lumière, une évidence pour les fêtes. Direction donc : Paris ! Paris, non, car avec tous ces touristes (comme nous) plus les festivités, le bruit risquait d’être un peu trop fort à mon goût, et en plus j’avais derrière la tête une petite idée, celle de mettre ma princesse dans un écrin, et où trouver un écrin pour une princesse près de Paris ? Versailles !!! Bien sûr ! Je réservais donc une petite suite dans un hôtel au nom d’un dieu romain, et qui indique la température (elle allait monter plus haut que je ne le croyais). Arrivée sur place, Marjorie ouvrit de grands yeux, ignorant tout du lieu de nos vacances, et la surprise fut totale. La suite nous donna l’impression d’être dans un décor de film, où les mousquetaires et Milady de Winter allaient s’affronter ; tout, de la tapisserie à l’ameublement, nous plongeait dans les livres d’Alexandre Dumas. Toute heureuse, Marjorie me sauta au cou pour un baiser fougueux, sous les yeux ébahis de la femme de chambre ; à peine était-t-elle sortie que Marjorie me déshabilla en me couvrant de baisers ; elle fit tomber mon manteau sur le sol, sa bouche, collée à la mienne me suçait la langue, ses mains déboutonnaient mon chemisier et me caressaient les seins, elle léchait mes tétons au travers de mon ...
... body. Je frémissais de plaisir, mon-bas ventre était en feu et mon sexe ruisselait comme une fontaine ; sa tête descendit le long de mon ventre vers la fourche de mes jambes, ses mains me palpaient les fesses ; une main fit sauter les pressions de mon vêtement, dégageant le passage pour sa langue et, tandis que son nez respirait les effluves odorantes de ma vulve, mon clitoris dansait la samba sous sa langue. Des chocs électriques parcouraient mon corps (je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme-là !), ses mains me tenaient fermement les hanches afin que je reste debout pour décupler mon plaisir. Je haletais, je ne me contrôlais plus, mes mains agrippaient ses cheveux, je criais « Oh oui ! Vas-y, bouffe ta salope de belle-mère, baise-la ! ». Elle sentit que j’allais jouir et, pour être sûre de me faire atteindre le septième ciel, elle m’enfonça son majeur dans l’anus. Je partis tout de suite dans un râle digne d’une bête fauve, des mots salaces sortaient de ma bouche : « Petite salope de gouine, tu m’a enculée, je jouis, hrrrrrrrrrg ». Rassasiée et terrassée par la jouissance, je tombais au sol le corps engourdi par le plaisir. Marjorie vient m’embrasser à pleine bouche, mon jus et sa salive mélangés sont plus doux à mon palais que tous les champagnes de France. Elle me couvre de petits baisers tendres et, tout en me caressent les cheveux, ses grands yeux bleus plongent dans les miens et elle me dit « Je t’aime, Julie ». Nous restâmes un long moment allongées sur le sol, sans ...