Ma belle fille m'a séduite 3
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
ff,
fplusag,
fagée,
frousses,
alliance,
hotel,
intermast,
Oral
... bruit des fêtards, nous quittons les lieus. La jeune femme sortit la première et garda la porte ouverte pour nous ; comme je la remerciais de sa gentillesse, elle me répondit dans notre langue que tout le plaisir était pour elle. Stupéfaites, nous restâmes figées sur place. Je lui demandai si elle parlait le néerlandais, et elle me répondit « Oui, en effet »; elle précisa qu’elle était assistante de direction pour une grosse boîte d’électronique dont les filiales se trouvaient dans le Bénélux, et que donc elle parlait néerlandais, allemand, et anglais. Je réalisais d’un coup que tout ce que j’avais dit à Marjorie sur ce que j’allais lui faire à l’hôtel avait été clairement compris par cette femme ; elle était fort belle : 1,70 m, cheveux châtain en chignon, un bon 90C de poitrine, des yeux noisette qui vous font regretter de ne pas être un écureuil pour pouvoir les croquer, une taille fine, des jambes fuselées, et 25 ans environ. Elle nous dit « Ne vous en faites pas, je suis bi, et j’ai bien aimé ce que j’ai vu quand j’ai déposé mon sac sur le sol ; tu as les pieds agiles, je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber en vous voyant, de plus tu lui as promis de lui faire un tas de choses avec vos jouets, et ça m’a donné une folle envie de faire l’amour ». Je fis un petit sourire à Marjorie qui me comprit tout de suite. J’invitais notre nouvelle amie à prendre un verre au bar de l’hôtel, ce qu’elle accepta avec empressement. Sur le chemin nous nous présentâmes ; elle nous dit ...
... s’appeler Béatrice, Béa pour nous, qu’elle avait 25 ans, et que notre histoire l’émoustillait beaucoup ; l’idée qu’une belle-mère et sa belle-fille fassent l’amour et finissent par vivre ensemble lui donnait des picotements dans le ventre ; elle nous trouvait très belles et elle avait envie de participer à nos jeux érotiques. Pour toute réponse, Marjorie la prit dans ses bras et l’embrassa à pleine bouche, puis elle la retourna et me dit « Tiens, goûte sa bouche, elle a une langue qui nous fera du bien » ; je la pris dans mes bras et l’embrassai à mon tour ; le contact de sa langue partie à la recherche de la sienne m’électrisa, elle était incroyablement douce, à peine granuleuse et longue, je la sentais jouer avec ma luette, un vrai délice !…et de bon augure pour le reste de la soirée ! J’ai dû cesser ma douce étreinte à cause les quolibets de deux petits cons, et nous reprîmes le chemin de l’hôtel. Nous prîmes l’ascenseur où Marjorie commença à déboutonner le corsage de Béatrice pour lui malaxer les seins et les embrasser au travers d’un très joli soutien de dentelle noir et bleue. Nous fûmes vite arrivées à notre étage, et quand nous sortîmes de la cage (qui embaumait le sexe féminin !), Béa et Marjorie étaient débraillées, leur chemisier grand ouvert, se palpant mutuellement les seins, ce qui m’excita à un point tel que la cyprine me coulait le long des jambes. Ouvrant notre chambre avec empressement, je me retournai vers elles et leur dit « Entrez, entrez vite, mes belles ...