le jour des soldes (1)
Datte: 07/04/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Par une belle journée d’été, nous étions plusieurs amis à nous diriger vers le centre commercial régional à l’occasion du premier mercredi des soldes. Lors d’une précédente visite, nous avions pu effectuer un repérage et sélectionner des articles qui nous intéressaient. Mathias avait en vue un caleçon de grande marque mais j’étais sûr qu’il ne pouvait pas se le payer ! Avec Gustave, nous l’avons suivi dans un magasin de sous-vêtements. Chacun de nous examinait les articles. C’est Gustave qui fit un premier achat, un petit slip très étriqué qui fit réagir Mathias : -Il est encore trop grand pour toi, Gus ! Gustave n’a pas répondu, se contentant d’un regard de dédain, comprenant que Mathias faisait allusion à la petite taille de son sexe. Pour ma part, j’avais sélectionné un caleçon assez long. Et Mathias, après une longue hésitation, a pris un caleçon bon-marché. Après le passage à la caisse, nous n’avons même pas fait attention à l’alarme qui avait retenti. Mais le vigile nous a fait signe de revenir : nous avions bien les tickets de caisse mais cela ne lui suffisait pas. Il nous a emmené dans un petit local et s’est mis à nous fouiller. N’ayant rien trouvé lors de la palpation, il nous a dit : -Désolé, les gars, il va falloir tout enlever. D’abord nous avons enlevé nos shorts et nos T-shirts. Il nous a fait signe de continuer. Alors un peu honteux, j’ai commencé à baisser mon caleçon, suivi par Mathias et Gustave. Et on lui a donné les caleçons qu’il a examiné avec ...
... attention. Soudain, il a poussé une exclamation : un slip de grande marque se trouvait dans un des caleçons. En fin de compte, Mathias n’avait pas pu résister et l’avait chouravé ! Je commençais silencieusement à le maudire. Il nous avait mis dans de beau draps. Car à coup sûr nous allions être accusés de complicité de vol. Je m’attendais à ce que le vigile nous donne nos caleçons pour qu’on puisse se rhabiller : au lieu de cela il est sorti du local probablement pour discuter avec le directeur. Nous avions quelques secondes pour prendre une décision. C’est Mathias qui a décidé pour le groupe : -Vite ! Prenons la poudre d’escampette. il a attrapé le tas de vêtement et s’est dirigé vers la sortie. Une fois dans les travées, nous nous sommes mis à courir comme des dératés. Les passants nous regardaient d’un air amusé. Certains semblaient choqués. Lorsque j’ai baissé le regard, j’ai vu ce qui amusait tant le public : ma bite oscillait d’avant en arrière à chacune de mes foulées ! En slalomant entre les gens, j’évitais de justesse une femme âgée. Elle en était quitte pour une belle peur, ayant failli se prendre ma teub en plein visage. Gustave semblait au comble de la honte. Il tentait de cacher ses parties intimes avec ses mains tout en courant ; on l’entendait pleurnicher. Mathias semblait le plus à l’aise, pas du tout gêné alors même qu’il bandait à moitié. Puis alors que nous frôlions trois jeunes filles blondes, j’ai clairement entendu : -Il est bien monté, cet Adrien ! C’était la ...