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le jour des soldes (1)
Datte: 07/04/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... passants. Quand à Mathias, malgré sa chaussette, on voyait clairement qu’il bandait fortement. En nous croisant, la plupart des gens avaient un large sourire mais pour nous, c’était un calvaire. Parmi eux, il y avait de nombreuses personnes de connaissance, des amis. Nous étions donc soulagés d’arriver au poste de police. Nous avons été immédiatement présentés devant le juge, Madame Belpère. jywjbbzl Sa première préoccupation a été de nous examiner : elle ne s’est pas privée de regarder à la loupe nos parties intimes ! Puis elle a fait entrer différents témoins. L’un d’eux m’a désigné : -Ce jeune homme a bousculé ma mère ! -C’est faux ! Je suis passé à au moins 1 mètre d’elle ! Un autre a accusé injustement Mathias : -Celui-ci s’est masturbé devant ma femme et mes enfants ! -C’est faux ! J’ai eu une érection incontrôlable ! Madame Belpère a enfin prononcé son jugement : Mathias était coupable de vol et nous étions ses complices. De plus, j’étais coupable de coups et blessures sur mineur et Mathias d’exhibition sexuelle. Nous pouvions nous attendre à une sanction très lourde mais Madame le juge a fait preuve de clémence : -Je ne vous mets aucune condamnation ; toutefois je vais mandater le président de votre université pour appliquer la sanction de son choix. Nous étions inquiets car celui-ci était capable d’inventer une sanction tordue. En attendant, nous avons pu nous rhabiller et rentrer chez nous. J’étais couché quand on sonna à la porte : Julie m’avait fait une surprise ...
... en venant. Elle m’a dit : -Ou en étions-nous ? Je crois que je te suçais ! Nous nous sommes déshabillés tous les deux et nous avons continué ce que nous avions commencé. Elle m’a sucé la teub pendant que je lui bouffais la chatte. Puis nous avions tellement sommeil que nous nous sommes endormis. Le lendemain matin, l’amphi de la fac était comble. Le président a prononcé une petite allocution : -Ces trois étudiants ont gravement attenté à l’honneur de notre université. Ils ont volé des vêtements dans un centre commercial. Puis ils se sont exhibés dans les travées du centre commercial. La punition sera exemplaire. On a ouvert le rideau et deux étudiants nus sont apparus montrant leurs fesses au public : c’étaient Mathias et moi ! Le président a demandé quelle punition ferait plaisir aux camarades. On entendait le mot "fessée" qui revenait très souvent. Il a répondu : -OK. Mettez-vous en position. A quatre pattes. Tout le monde était mort de rire. Nous étions morts de trac. Il s’est repris : -Comme vous le savez, les châtiments corporels sont interdits dans l’enceinte de l’université. Donc pas de fessée malheureusement ! Puis après un temps de silence, il a ajouté : -Vu comme ils tremblent de tous leurs membres, ils y ont vraiment cru ! Puis s’adressant à Mathias et moi : -Levez-vous et rhabillez-vous ! Vous êtes libres. Mais une dernière épreuve nous attendait : nos vêtements étaient restés dans le vestiaire du gymnase et nous avons dû traverser des couloirs pleins de monde. Au ...