1. Le jeu de la statue


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, couple, fsoumise, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, jeux,

    Une devinette idiote : Trois jeunes femmes achètent trois cornets de glace. L’une croque sa boule, l’autre la lèche et la troisième la suce. Sauriez-vous reconnaître laquelle est mariée ? Mais non, voyons ! Qu’allez-vous chercher ? C’est celle qui porte une alliance ! Mais vous, mesdames, sauriez-vous rester… de glace ? Vraiment ? Sûres de chez sûres ? Difficile à croire ! Pour le savoir il y ale jeu de la statue ! Vous connaissez ? Non ? Lisez-donc ce qui suit et laissez-vous entraîner. Il y a donc une statue : c’est vous, et un sculpteur : c’est lui. Les lieux s’y prêtent, vous avez investi un atelier où vous ne risquez pas d’être dérangés. Vous éprouvez l’un pour l’autre un minimum d’intérêt, fût-il inavouable, voire un penchant et peut-être même, luxe suprême, de l’affection. ********** En quelques mots, le sculpteur explique la règle du jeu à sa partenaire : — Je te caresse comme je veux, mais toi, tu dois résister le plus longtemps possible à mes caresses, sans réagir. La statue aura deux adversaires : le sculpteur et elle-même. Résister au sculpteur, c’est surtout se résister à elle, contenir la montée de son plaisir. Dans ce jeu – au travers duquel, précisons-le, on cherchera vainement la moindre préoccupation intellectuelle – on peut imaginer plusieurs variantes, nous y reviendrons. La statue peut débuter le jeu habillée, partiellement dévêtue ou totalement nue, au choix. Elle se tient debout, sur le seuil d’une porte, par exemple, les bras écartés, la paume de ...
    ... chaque main bien à plat de part et d’autre du chambranle. Interdiction absolue d’enlever les mains. Elle peut aussi, toujours debout, se tenir dos tourné à un lit, les mains sur les épaules du sculpteur, ou posée chacune sur le dossier de chaises disposées de part et d’autre. Elle peut encore être allongée sur le lit… Mais, dans tous les cas, son corps est offert sans restriction et… sans défense. Gestes impurs bienvenus. Revenons au seuil de la porte. L’artiste peut se placer comme il l’entend, devant ou derrière son modèle, debout ou à genoux. Il peut, toujours à sa guise, lui faire changer de pose. Par exemple, lui écarter un peu les jambes pour que les cuisses soient plus ouvertes lorsqu’elle sera débarrassée de ses sous-vêtements, ou lui demander de se cambrer… etc. Un objectif précis : amener la statue à réagir à ses caresses, à ses attouchements ; la forcer à transgresser la consigne d’immobilité. Il veut l’amener au plaisir. La partenaire saura-t-elle supporter longtemps la montée vers l’orgasme en restant totalement impassible ? C’est cette question qui donne tout son sel au jeu. Imaginons le sculpteur à l’œuvre. Parcourir de ses mains la délicieuse géographie qui s’abandonne à elles, ses rondeurs et ses courbes. Caresser les fesses, le dos, la nuque, empaumer les seins après avoir dégrafé le soutien-gorge, agacer les mamelons, il y a tant à faire ! Il faut créer une atmosphère de fièvre charnelle. Ensuite, s’attaquer aux trésors les plus sensibles. Remonter sous la jupe ...
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