1. Le jeu de la statue


    Datte: 08/04/2020, Catégories: fh, couple, fsoumise, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme jeu, jeux,

    ... le long du galbé extérieur des cuisses, agripper l’élastique puis faire glisser lentement la petite culotte vers le bas, en plusieurs étapes, pour augmenter la tension et permettre à l’imaginaire de la statue de monter en ébullition tant l’excitation due à l’attente lui sera délicieuse, car elle imagine très bien la suite des caresses. Mieux : elle les attend… tout en voulant les ignorer. Dégrafer la jupe et la retirer doucement vers le bas pour offrir à la vue les cuisses, le mont de Vénus et le fruit d’Ève fendu. Ou bien, selon la vêture, ouvrir la tirette du pantalon, et faire glisser celui-ci jusqu’à mi-cuisses. Faire prendre le même chemin à la petite culotte, sans hâte ni précipitation. Surtout pas de geste brusque, tout se fait en douceur, en effleurements, en allusions tactiles légères. Remonter en caressant de ses mains expertes la soie veloutée de la face interne des cuisses. Arriver au zénith… Faire pression avec les doigts sur le mont de Vénus tandis que le pouce, à l’horizontale, parcourt les grandes lèvres de haut en bas. La statue reste de marbre, aucun frémissement, aucun tressaillement ne doit transparaître. La dactylo ne regarde pas le clavier, elle regarde l’écran. Le sculpteur ne regarde pas ses doigts, il est attentif au corps de sa partenaire et scrute son visage, guettant le moindre indice : une bouche qui se pince ou s’entrouvre, des dents qui mordent une lèvre, un regard qui se perd, une poitrine qui se gonfle, une respiration qui raccourcit ou se ...
    ... fait sifflante, un frémissement des chairs… Observons encore la progression du travail des doigts. Le sculpteur pince maintenant les grandes lèvres entre le pouce et le majeur, il coince le bouton de plaisir et le roule entre les chairs gonflées. La statue aimerait resserrer ses cuisses, elle aimerait se tortiller, elle n’en a pas le droit… Le regard du sculpteur plonge dans le sien. Pas un mot, mais un torrent de non-dits. La main se tourne, paume vers le ciel, le majeur parcourt langoureusement plusieurs fois la fente pour se lubrifier avant d’atteindre sa cible qu’il va titiller en alternant frénésie et douceur. Le visage de la statue s’est contracté. Le bouillonnement des sens le déforme et le crispe. Va-t-elle céder ? Pas encore. Le chat continue à jouer avec la souris. Il change alors de position. Il se place derrière la statue. Son bras droit entoure le corps et sa main redescend vers le mont de Vénus. Son majeur s’insinue dans la vallée des sens et reprend sa caresse sur le bouton durci. Sa main gauche s’empare d’un sein, puis de l’autre, les soupèse, les cajole, puis ses doigts agacent les tétons. Sa bouche mordille, lèche, embrasse la nuque, le dos, puis se rapproche de l’oreille. Le sculpteur sait que la stimulation orale fait partie de ses outils. Elle peut être un puissant allié. Il susurre des mots tendres ou crus. Il attaque, pour les rompre, les digues qui brident l’imagination chez sa partenaire. La mettre en situation… — Qu’est-ce que tu es belle ! Que c’est ...