De l'éjaculation
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
intermast,
Oral
pénétratio,
uro,
humour,
... que je bande, et quand je bande, je ne peux pas pisser, c’est comme ça, c’est mécanique.— Eh bien, cessez de bander, et ça ira mieux.— Cesser de bander, vous êtes drôle, vous ! Comme si cela pouvait se commander à volonté.— Pour quelqu’un qui se lance dans un pari où la notion de contrôle est fondamentale, vous êtes plutôt mal parti. Elle avait réponse à tout. Comme si cela ne suffisait pas, la porte des toilettes s’ouvrit. Je fis une prière silencieuse en entendant la personne se rapprocher, espérant qu’elle ne fut pas de mes connaissances, mais raté : je reconnus Stéphane qui vint se positionner à ma droite. — Hello, Grégoire, ça boume ? Je grognai vaguement une approbation confuse, tout en me collant à la faïence de l’urinoir pour dissimuler mon état. Stéphane quant à lui venait de se rendre compte de la présence de Géraldine. — Hé, qu’est-ce qu’elle fout là, cette fille ? chuchota-t-il à mon oreille. Géraldine, sans aucune gêne apparente, malgré la présence d’un nouveau venu, restait plantée à ma gauche en attendant que la situation se débloque. — Rien, rien, t’occupe, bredouillai-je. Stéphane haussa les épaules, et fit ce que l’on fait généralement lorsque l’on se trouve en station debout devant un urinoir, contrairement à moi il pissa tranquillement. Il avait fini alors que je n’avais pas encore sorti la moindre goutte, et tout en remballant son matériel, il me demanda sur un ton un peu perplexe : — Tout va bien, Grégoire ?— Ça baigne, ça baigne. La petite voix de ...
... Géraldine jaillit de derrière mon dos : — Il va bien, il suit juste un traitement contre une forme d’incontinence. La garce, la vilaine petite garce. Stéphane pouffa et me tapa sur l’épaule : — Je vois. Allez, bon courage mon vieux ! Et il sortit en ricanant. Sa présence avait au moins eu un effet bénéfique : elle m’avait sérieusement refroidi, et je pus enfin procéder à la vidange tellement attendue. — C’est pas trop tôt, dit Géraldine. Lorsque je sortis des toilettes, la porte me parut s’ouvrir sur un magnifique espace de liberté. J’allais tourner une nouvelle fois à droite, vers la sortie de la fac, mais Géraldine continua tout droit… vers les toilettes pour Dames. — Attendez-moi là, vous m’avez donné envie d’aller faire la même chose que vous. Ah, non, tout de même, je n’allais pas laisser passer ça ! — Hé, ho, Géraldine, vous rigolez ?— Quoi donc ? dit-elle avec un petit air ingénu.— Mais il est tout à fait hors de question que je vous laisse aller aux toilettes sans surveillance. Qu’est-ce qui me dit que vous n’allez pas aller vous masturber frénétiquement ? Elle gloussa : — Allons, Grégoire, vous savez bien qu’une femme ne peut pas aller se masturber comme ça en trente secondes… Et puis, cela ne produit pas le même effet que sur un homme.— Et pourquoi pas ?— Et puis, vous ne faites pas preuve d’imagination : vous ne faites que répéter la situation de tout à l’heure… Allons, écartez-vous et laissez-moi aller faire pipi. Elle tentait de forcer le passage, mais je n’étais pas ...