De l'éjaculation
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
intermast,
Oral
pénétratio,
uro,
humour,
... décidé à céder le moindre pouce de terrain. — Géraldine, je ne vois pas pourquoi je devrais vous accorder ce que vous m’avez refusé.— C’est de l’esprit de revanche.— Non, c’est un esprit d’équité.— Menteur.— Géraldine, je ne céderai pas, je vous préviens. Elle recula et sembla me jauger, puis elle me prit par la main brusquement. — Bon, allez, on y va. Elle se précipita dans les toilettes pour Dames, m’attirant dans son sillage. Sans regarder autour d’elle, elle fonça vers une cabine dont la porte était entrouverte, m’agrippa, me tira à l’intérieur et referma la porte avec le pied. Nous étions face à face, à nous frôler. Elle était plus belle que jamais. Avant de rentrer, j’avais aperçu en vitesse deux filles qui se lavaient les mains. Apparemment, Géraldine s’en foutait. — Fermez la porte à clé, espèce de crétin, me dit-elle en chuchotant, ce que je fis. Enfin, je la voyais un peu émue ! Ses joues étaient rouge vif et sa respiration haletante. Sans un mot, elle déboutonna son pantalon, le baissa d’un geste brusque et s’assit sur la cuvette. Un regard vers le bas m’apprit qu’elle avait baissé sa culotte dans le même temps. La vision de son pantalon et de sa culotte noire à ses chevilles produisit sur moi un frisson indescriptible. Je m’agenouillai devant elle, et posai mes deux mains sur ses genoux dénudés, en exerçant une légère pression pour lui écarter les jambes. Sans y mettre une franche complaisance, elle ne résista pas plus que ça. J’étais juste à la hauteur de son ...
... entrejambe, et j’apercevais son petit buisson noir en haut de ses cuisses. — Et maintenant, chère amie, voyons si vous serez plus rapide que moi.— Grégoire, répondit-elle, vous êtes un horrible petit voyeur. Je devais me retenir pour ne pas avancer les mains plus haut, je ne me contentais quelques petites pressions sur ses genoux. — Ça vient, dit-elle au bout d’un petit moment. Et en effet, la petite fontaine se mit à couler. Je penchai la tête vers l’avant pour mieux me repaître de ce spectacle inoubliable. — Papier, s’il vous plait, commanda Géraldine en me désignant le rouleau qu’elle ne pouvait atteindre. Elle se tamponna méticuleusement, jeta le papier dans la cuvette, puis fit mine de se lever. — Une seconde, dis-je en la maintenant assise. Je voulais vérifier quelque chose. Ma main droite quitta son genou pour aller caresser l’intérieur de sa culotte. La légère trace d’humidité poisseuse que j’avais cru distinguer était bien là. Je dus puiser dans toutes mes ressources pour trouver en moi la force nécessaire de me relever sans lui sauter dessus. Elle se releva, remonta sa culotte, puis son pantalon. Nous étions face à face, et je fis mine de vouloir me pencher vers ses lèvres. — Plus tard, les bisous, dit-elle en se reculant, mais je devinai qu’elle aussi devait faire des efforts pour se contrôler. Nous sortîmes donc ensemble de la cabine. Comme on pouvait s’en douter, les deux filles de tout à l’heure étaient toujours là. — Pff, vraiment dégueu, entendis-je derrière moi, ...