1. L'étalon aiguille (Tome 2) (3)


    Datte: 09/04/2020, Catégories: Transexuels

    ... peine, aujourd’hui, c’est offert par la maison ! — Et bien alors, merci et merci. — Pardon? — Ben oui, merci pour la baguette, et surtout, merci pour les bottes ! — Alors, de rien… et de rien ! Elle repartit en riant dans l’arrière boutique et je l’entendis dire à sa patronne : — Bon, il est midi, j’y vais. Il n’y a plus de client dans la boutique. — Bon appétit, Céline. — Merci Madame. A tout à l’heure…. Elle avait enfilé un blouson de cuir très court de couleur rouge vif. — Waôw ! Vous avez un super blouson ! — Quoi, ne me dîtes pas que, lui aussi, vous voudriez l’essayer ! — Et si je vous le disais? Elle éluda ma question. — Bon alors, on fait comment? Je vous préviens juste qu’il faut que je reprenne mon job à 15 heures. — Et bien, nous avons du pain tout chaud, mon frigo est plein, car j’ai fait les courses avant-hier, donc, en plus, on aura le choix… Si vous voulez, dans moins de cinq minutes, on attaque l’apéritif chez moi, ça vous dit? Et en plus, pour le même prix, je fais le chauffeur ! Profitant de l’occasion, je caressai la manche de son blouson en lui prenant le bras pour l’aider à s’installer dans ma voiture. Deux minutes plus tard, je réitérai en la prenant par la taille lorsqu’elle franchit le seuil de ma demeure. Pendant qu’elle jetait un regard circulaire dans l’entrée, j’accrochai en vitesse mon blouson à moi sur un cintre et, m’approchant d’elle par derrière, posai mes mains sur ses épaules pour lui enlever le sien. Surprise, elle sursauta, mais me laissa ...
    ... finalement la dévêtir. Ses poignets étaient à peine sortis des manches que je glissai les miens dedans. Je ne sais ce qui provoque cette réaction, mais j’ai remarqué qu’à chaque fois ou presque que j’enfile les vêtements ou les bottes d’une jolie femme devant elle, elle sourit ! Je précise qu’il ne s’agit quasiment jamais d’un sourire moqueur, mais le plus souvent d’une sorte de complicité. Céline ne dérogea pas à cette règle…. Je l’invitai à passer dans le salon et à s’asseoir dans mon canapé en cuir fauve. — Restez là, je vous demande juste une seconde et je reviens. Tiens, choisissez la musique pendant ce temps, vous voulez bien? — OK. Ça marche ! En me rhabillant chez Sabrina, j’avais enfilé directement mon pantalon de cuir, sans remettre ni ma petite culotte, ni mon collant, et j’étais donc pieds nus dans mes bottes. Je montai dans ma chambre pour enfiler une paire de mi-bas et redescendis les marches quatre à quatre. — Bien, nous y voilà…. — Nous voilà où? — Vous avez déjà oublié? On est ici pour que je puisse essayer vos bottes tranquillement…. Tout en parlant, je m’étais assis à coté d’elle et commençai à ôter les miennes. — Mais vous m’avez déjà piqué mon blouson ! — Non, ça, c’est autre chose. … Allez, vous aviez dit que vous étiez d’accord…... Elle accepta finalement de se déchausser et nous fîmes l’échange. C’était une paire de très belles cavalières, en cuir souple et doux, entièrement doublées en peau, moulant malgré tout parfaitement le mollet et montant haut ...