L'étalon aiguille (Tome 2) (3)
Datte: 09/04/2020,
Catégories:
Transexuels
... sur la jambe. Le talon métallique et le bout relativement effilé leur donnaient un aspect très sexy. Comme à chaque fois dans ces moments là, j’étais profondément excité. Céline se redressa la première : — Ça va, Effectivement, c’est ma pointure
Et vous? Je me relevai à mon tour en regardant fièrement mes pieds. — Nickel chrome ! — Bon ! Alors, c’est bon, vous les avez essayées, vous êtes content? megmqqwn -S’il vous plaît, attendez, laissez les moi ! On peut rester encore un peu comme ça, non? Avant qu’elle ait eu le temps de répondre, je changeai de sujet : — Ça vous dit un ’ti punch? — Tant qu’à rester sur une base de rhum, je préférerais un Cuba Libre. — Et bien, va pour un Cuba Libre
. Je me relevai tandis qu’elle chargeait la platine CD. En me rendant dans la cuisine, je pensai "Waôw, premier objectif atteint, j’ai ses bottes aux pieds, j’ai même son blouson !". Je réalisai alors que je commençais à bander sérieusement. Passant machinalement la main entre mes cuisses gainées de cuir, je continuai à me faire un film dans la tête. "Oh putain, ce que j’aimerais me la faire ! C’est un véritable appel au sexe, cette nana !!! Ce que je voudrais, c’est que quand je vais revenir dans le salon, elle enlève son T-shirt, puis son jean et que je la prenne, là, debout, au milieu de la pièce. Et après, je voudrais qu’elle me suce avant que je ne l’encule. Ouais, ça, ça s’rait cool !". Un air de bossa-nova emplit la maison. Je me dis qu’à défaut de pouvoir vivre tout ça, je ...
... devrais au moins réussir à m’offrir une danse avec elle Je remplis deux verres et ajoutai quelques amuse-gueule sur un plateau. Encore perdu dans mes pensées, je faillis le laisser tomber au sol quand je revins au salon : Céline avait posé son T-shirt sur le dossier d’une chaise et achevait de dégrafer comme si de rien n’était son soutien-gorge mauve. Elle le lança dans ma direction et il atterrit sur mon épaule gauche. Sans la quitter des yeux, je posai précautionneusement mon chargement sur la table basse : elle se déhanchait lascivement au rythme de la musique et caressait à deux mains sa poitrine découverte. J’eus l’impression que ma queue allait faire exploser ma braguette ! C’était complètement irréel : je savais que cette fille faisait fantasmer la majeure partie de la population mâle du secteur, mais qu’elle était en fait très sage, qu’elle sortait avec le même garçon depuis un an. En fait, elle était peut-être un peu provocatrice dans ses tenues, mais ce n’était en aucun cas une salope. Là, elle n’avait pas du tout l’air d’être shootée ou bourrée, et pourtant elle paraissait être quelqu’un d’autre. Elle qui avait si souvent une attitude presque hautaine avec tout le monde, elle qui me connaissait de moi que mon prénom, était là, plantée au milieu de mon salon, à demi nue, et elle faisait onduler son corps devant moi comme si rien au monde n’était plus naturel. J’inclinai ma tête sur le coté pour embrasser la soie de son soutif, puis m’approchai d’elle en lui tendant son ...