Orphée et Alex (1)
Datte: 10/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... enfonce doucement un doigt dans l’ouverture qu’il trouve facilement. L’intromission n’est absolument pas douloureuse, parce que les paroles de son mari lui ont fait un drôle d’effet. Elle mouille abondamment et elle est sûre qu’ils voient tous cette chatte luisante qui coule de désirs pervers. Le doigt agit comme une queue miniature en entrant et sortant d’elle, en se frottant contre son clitoris et maintenant d’autres mains parcourent aussi son corps. Ses seins sont pris d’assaut, partout elle sent et voit des doigts qui la palpent, la caressent et mon dieu, la voici qui sent venir du fond d’elle, comme une marée, une lame qui va ravager son ventre. Elle gueule dans son bâillon, elle crie pourtant muette avec cette chose qui, dans sa bouche, l’empêche de s’exprimer pleinement. Alors c’est en voyant les réactions désordonnées d’Orphée qu’Alex lui retire la boule qui lui clos la bouche. Et il laisse son doigt traîner entre ses lèvres. D’instinct, elle suce ce doigt comme s’il s’agissait d’un phallus, elle est secouée par cette envie de jouissance qui lui taraude les tripes. L’un de ceux qui la sodomisent lui demande soudain dans le feu de l’action : — Pourquoi fais-tu tout cela ? Orphée répond sans hésiter : — Parce que je suis punie. Ils l’ont détachée de la table, et elle s’y trouve à quatre pattes maintenant, tendant sa croupe aux regards inquisiteurs de ces mecs qui bandent comme des « salauds » pour ce petit cul si affriolant. L’un d’entre eux s’est couché sous elle, la ...
... tête entre ses cuisses et sa langue la lèche sans discontinuer. Orphée râle de tous ses poumons pendant qu’un autre lui tient les tétons, qu’il les serre entre deux doigts, en tournant par moment. Elle sent que dans ses fesses qui sont maintenues par deux mains qu’elle ne connait pas, une queue raide s’enfonce, glisse dans sa mouille ou est-ce dans la bave de son lécheur ? La bite entre et ressort, prend une cadence et s’y tient. Elle va longtemps au même rythme, alors que la langue de l’autre ne cesse pas non plus de lui titiller le clitoris. Et sur ses seins, la pression s’est aussi accentuée, Orphée crie de plus belle. Elle crie qu’Alex est un salaud, un salaud magnifique, qu’elle veut être baisée plus fort, puis moins vite, en fait elle commence à guider les opérations des gens qui s’occupent d’elle. Et elle jouit à ne plus pouvoir s’arrêter, dans des cris qui doivent faire craquer les murs du sex-shop, qui doivent ameuter tout le quartier sans doute. Quand l’homme qui la baise commence à donner des signes d’une faiblesse obligée, un autre le remplace, un autre lui bourre la chatte. Puis c’est celui qui la suçait, qui las de recevoir ses jets de cyprine, laisse la place à un autre. Mais celui-là la fait s’étendre sur lui, s’enfonce jusqu’à la garde dans son fourreau de velours et un autre présente sa bite à son œillet sombre. Un troisième est venu lui bloquer le visage entre ses mains, et il lui fourre d’autorité son vit devant la bouche. Comme les deux premiers viennent ...