Hélène (5)
Datte: 10/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Embrasse-moi avant. Il l’enlace. Les mains de la belle victime sont liées, elle projette sa bouche vers la sienne et se plaque de tout son corps en prenant appui sur ses liens. Ils communient par le baiser. Ils se séparent. Il se glisse derrière elle. Et Lève le bras. Hélène se cambre pour mieux s’offrir - Va s’y mon amour. La cravache s’abat, creuse un sillon dans la croupe incendiée. La bien aimée se cabre, puis retombe dans ses liens. Les veines de son cou palpitent, elle ne respire plus, elle halète, et gémit. Lentement le trait rouge apparaît. Il part du haut de la fesse gauche, marque en diagonale la croupe de la belle sultane pour s’arrêter sous le gras de l’hémisphère droit à la limite de la cuisse. Pierre s’agenouille et libère les chevilles de la barre. Il redresse sa victime et la prends dans ses bras. Celle-ci glisse son visage dans son cou, près du tatouage. Elle profite de ce moment de tendresse, son souffle devient plus régulier. Elle s’apaise, se coule contre Pierre. Elle est bien, au-delà de sa souffrance. - Mes seins, s’il te plait, maintenant. Elle s’écarte, elle le regarde dans les yeux, dans un acquiescement silencieux. Son bourreau relève la main. Comme au ralenti, elle voit la cravache percuter et s’incruster dans son sein gauche, ensuite, dans l’élan, la mèche frappe son jumeau au bord de l’aréole. Rien… Puis cette douleur qui irradie de sa poitrine et de son mamelon. Ses jambes la lâchent, elle s’effondre, pendue par les poignets. Elle sanglote, elle ...
... pleure Son seigneur la soutient, dégage ses poignets des dragonnes. Elle se raccroche à lui, comme une noyée, laisse tomber sa tête sur sa poitrine, elle hoquette, elle murmure. - J’ai mal, j’ai mal… Il la porte dans le lit et dégrafe le serre taille et les bas. Il défait le ruban et libère sa chevelure Puis il rabat la couette. Il se recule. Elle le rattrape par la main et le tire vers elle. - Reste, reste, ne me laisse pas, viens tout de suite ! Pierre se débarrasse de son kimono noir et se glisse nu à ses côtés. Elle se pelotonne contre lui. - Serre-moi, j’ai si mal. Il l’enlace. Elle se colle à lui, en chien de fusil, elle gémit doucement, mélangeant les « j’ai mal » et « mon chéri ». Lentement elles s’apaise, ses jambes se détendent, sa souffrance s’estompe, ses seins la lancent moins fort, elle s’allonge contre lui. Sa douleur s’assourdit. Elle se love contre Pierre. Elle cale son cul balafré contre le ventre de son si cruel amant, puis place sa main en coupole sur le sein gauche. Elle est bien, mais il lui manque quelque chose. De sa main gauche, elle saisit la verge érigée de son seigneur et l’emprisonne entre ses deux fesses. Épuisée, elle sombre dans le sommeil. La lumière du jour qui diffuse dans la chambre la réveille. Elle se retourne, elle est seule, Il a quitté leur lit. Mais il a profité de son sommeil pour lui passer son déshabillé. Elle s’assoie, et son derrière endolori se rappelle à son bon souvenir. Hélène porte la main sur sa poitrine, couverte de soie. ...