1. Le petit papi de mes vacances (1)


    Datte: 12/04/2020, Catégories: Hétéro

    Cet été, j’ai passé mes vacances en famille en Bretagne. Nous avions loué un petit gîte typique avec la mer visible près de la ligne d’horizon. Nos journées se résumaient à plage le matin, déjeuner au gîte, sieste des enfants et balade en fin de journée. Rien de très original, mais idéal pour se changer les idées et faire une vraie coupure du quotidien. Le plus souvent, mon chéri faisait aussi la sieste l’après-midi tandis que j’en profitais pour faire un peu de bronzette dans le jardin. Notre gîte était mitoyen des deux côtés et les jardins étaient séparés par une petite clôture d’à peine un mètre de hauteur. Autant dire que le vis-à-vis était important. Impossible pour moi de me mettre complètement nue au soleil. J’aime l’exhib mais je ne veux pas l’imposer aux autres. D’autant plus que, si j’ai vu qu’un petit papi était notre voisin de droite, de l’autre côté, je ne les ai pas aperçus. Alors, si jamais il y avait des enfants, je ne voulais pas qu’ils me trouvent à poil. Cet après-midi là, il y avait un grand soleil et aucun nuage. Nous avons eu de la chance pendant tout notre séjour d’ailleurs, une seule journée de pluie. La Bretagne ne mérite vraiment pas cette réputation ! Cet après-midi là, je m’étais donc quand même décidée à faire du bronzage topless sur notre terrasse. Je profitais de la chaleur des rayons se posant sur ma poitrine et traversant mon maillot pour chauffer mapetite chatte. Un vent léger venait faire pointer mes tétons. Les yeux fermés sur ma chaise ...
    ... longue, mon esprit s’emplit d’idées coquines. Je comptais rejoindre mon chéri un peu plus tard pour coquiner un peu avant le réveil des enfants. C’est en me levant pour aller me chercher une boisson fraîche que j’ai vu le papi dans son jardin. Il ne m’avait visiblement pas vue mais j’ai attiré son regard en me levant. J’ai attrapé mon haut de maillot pour le remettre. — Bonjour, me dit-il en s’approchant de la clôture. — Bonjour, lui ai-je répondu en allant vers lui. Je suis désolée, je pensais être seule. — Ne soyez pas désolée, vous n’avez pas à cacher une si belle poitrine. Ça fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de voir en vrai les seins d’une femme. J’ai 83 ans vous savez et je suis veuf depuis 21 ans déjà. Je vis tout seul depuis. Pendant qu’il me parlait, il me regardait de haut en bas. Je n’avais rien de spécial à lui dire mais je sentais que j’avais rompu sa solitude pour aujourd’hui et je ne voulais pas couper court à la conversation si rapidement. On échangea des banalités, il me demanda d’où on venait, ce qu’on faisait dans la vie. Puis je lui dis que j’attendais que les enfants se réveillent. — Je ne vais pas vous embêter plus longtemps alors. On se reverra sans doute avant que vous ne partiez. Et alors que je faisais demi-tour pour rentrer : — Excusez-moi, je pourrais vous demander quelque chose ? — Bien sûr, dites-moi. — Je pourrais toucher ? me dit-il, le regard fixé sur mes seins. J’étais attendrie par ce petit vieux et je lui ai simplement répondu d’un ...
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