Le petit papi de mes vacances (1)
Datte: 12/04/2020,
Catégories:
Hétéro
... sourire en m’approchant un peu plus. Il tendit ses mains tremblantes et les posa délicatement sur ma poitrine qu’il commença à caresser. On aurait dit un jeune puceau tellement il semblait hésitant dans ses gestes. Il savourait chaque instant à palper mes seins. Moi aussi je dois dire, je prenais beaucoup de plaisir à ses caresses. Je me sentais mouiller pendant qu’il s’occupait de moi. Il prit confiance et souleva mon maillot pour libérer mes seins. J’étais surprise mais je le laissais faire. Ses pouces jouaient avec mes tétons devenus tout durs. Il se pencha et déposa un baiser sur chaque. — Merci mademoiselle, c’est l’un des meilleurs moments que j’ai vécus depuis longtemps. J’ai rajusté le haut de mon maillot et lui ai souhaité un bon après-midi. Je filai rejoindre mon chéri pour qu’il me fasse l’amour tellement le petit papi m’avait excitée. Le lendemain, le vent s’était levé mais le soleil était toujours radieux. Je me suis installée pour ma bronzette mais je gardais un œil sur le jardin du papi pour voir s’il sortait. Au bout d’une heure, j’étais déçue de ne pas l’avoir vu. J’allais rentrer quand j’ai entendu du bruit chez lui. Je me suis approchée et je l’ai vu en train de ranger ses outils de jardinage. — Bonjour, lui ai-je lancé. Il se retourna et me fit un sourire. — Bonjour Mademoiselle. Je suis un peu gêné à vrai dire, je pense que j’ai été trop loin hier. Je l’ai rassuré en lui disant que le plaisir avait été partagé. Il me sembla soulagé aussi d’entendre que ...
... l’histoire resterait entre nous. C’est sûr, mon chéri ne l’aurait sans doute pas pris de manière aussi détachée. — Vous savez, vos seins ont hanté ma nuit. — Vraiment ? Je suis flattée alors. J’espère que vous en avez pris soin, lui repondis-je avec un sourire. — Oh oui, et je ne me suis pas arrêté là. Tout est permis dans les rêves n’est-ce pas ? Sa réponse m’intrigua, je voulais qu’il me dise ce qu’il avait imaginé. Mais il semblait un peuhonteux de cela. Finalement, il finit par me dire : — Quand j’étais jeune, j’aimais la minette vous savez. — Comme ça ? lui dis-je en écartant mon maillot. Il avait une vue plongeante sur monpubis et sur le début de ma fente. — Oui comme ça. Je pense qu’il rougissait. — Et que faisiez-vous à ces minettes ? Je ne sais pas pourquoi je le poussais tant, mon inconscient parlait à ma place. J’étais prête à me donner au petit papi. Il se mit à rire et me dit : — Des choses que je ne pourrais plus faire aujourd’hui, la mécanique ne fonctionne plus à mon âge. — Il y a sans doute des choses encore possibles, non ? — Certainement oui, mais je crois que j’ai oublié. Et puis je n’oserais pas. — Et si je vous donne la permission ? — Je crois que je ne peux pas accepter ça. — Vraiment ? Alors ce n’est pas grave, réfléchissez, ma proposition sera encore valable demain. Et je suis rentrée me faire caliner par mon chéri. Le jour suivant, le ciel était menaçant, je n’ai pas osé tenter la bronzette. Mais je guettais quand même mon papi, vêtue d’une petite robe ...