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Au septième ciel de Saint-Vaast...
Datte: 27/09/2017, Catégories: fh, vacances, sport, avion, collection, intermast, init,
... Relâchant enfin son étreinte sur mon pénis, elle me crie plus qu’elle ne me susurre : — Alors, n’est-ce pas excitant de jouir comme ça ? Il me faut quelques secondes pour retrouver l’usage de la parole et tenter de me convaincre qu’en effet, c’était pas mal…frustrant, mais original. Et le vol se termine déjà, le vent nous plaque vers la terre ferme où nous atterrissons sans encombre, moi à moitié débraillé, elle heureuse…les doigts gluants de…de moi… — Cet après-midi, on recommence pour ta seconde leçon. Et tout en rangeant la voile, elle me plaque un rapide baiser sur la bouche. Après une longue douche chaude réparatrice et un repas de terroir, ma bonne sieste est abrégée par des coups frappés à ma porte. — C’est Arielle… Tu es prêt ?— J’arrive…dis-je en maugréant un peu.— Mets ton maillot… Rapidement j’enfile mon maillot et me retrouve devant Arielle qui m’attend dans le couloir, toute pimpante, en maillot rouge deux-pièces qui met en relief sa plastique généreuse et son bronzage mordoré…et je ne peux qu’admirer la jeune femme d’un œil un peu égrillard… Arielle s’en aperçoit et tourne sur elle-même en me provoquant : — Je te plais ?— Tu es très belle… Et nous nous dirigeons vers son monticule où déjà la voile est dépliée et nous attend. Chemin faisant, elle m’explique que, cette fois, c’est elle qui sera devant et moi derrière, pour m’apprendre les rudiments du pilotage. Elle m’avoue aussi avoir aimé notre petite séance du matin et que cela n’était pas sa première ...
... expérience. Mais rares sont les clients qui ont droit à un tel traitement, m’avoue-t-elle. Cette fois, le chaud soleil nous fait délaisser les combinaisons et les casques, ce qui me fait lui demander, l’air inquiet : — Est-ce bien prudent ?— C’est mieux et, de toute façon, cela ne sert pas à grand-chose en cas d’accident. Un petit frisson d’angoisse me secoue pendant qu’elle s’ingénie à m’harnacher une nouvelle fois. Et, à nouveau le contact de ses mains qui glissent sur mon torse, sur mes jambes, effleurent mon entrejambe, me met en émoi, malgré mes angoisses. — Surtout, tu me suis bien…— Pas de problème. Et nous voilà partis. Elle devant moi, moi collé à son dos musclé et brûlant de soleil chaud. Déjà en l’air… Premiers gestes pour virer, tirer sur les suspentes, et hop ! nous montons… Arielle cale ses fesses contre mon ventre… Enfin, elle ne cale pas réellement ses fesses…alors que mes yeux, encore un peu effrayés de l’ascension vertigineuse que nous entamons, restent rivés au sol qui s’éloigne à toute vitesse, Arielle frotte ses fesses contre mon ventre… Et mon ventre, le lâcheur, plus habitué que mes yeux au vide, réagit instinctivement. Me voilà en train de développer en plein ciel une formidable érection qui épouse parfaitement les fesses d’Arielle dont je sens la chaleur à travers les minces couches de tissus qui nous séparent… Arielle ne semble guère gênée par cette situation, bien au contraire, elle doit même y trouver un certain plaisir puisqu’elle accentue son frottement, ...