Ma Logeuse Ch. 11
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... passa normalement. Elle essayait visiblement de me changer les idées et je me laissais aller à sa conversation agréable. Au moment d'aller se coucher, Carole me posa la question : « Tu veux dormir où? » J'hésitais un instant, mais je n'avais pas envie de rester seul. « Je préférerais dormir dans votre chambre » « D'accord, amène tes affaires » Carole était déjà en train de se déshabiller quand j'arrivai avec mon oreiller et ma couverture et m'allongeai sur le tapis. Entièrement nue, elle m'enjamba et se plaça debout jambe écartée, au-dessus de ma tête. J'avais une vue directe sur sa chatte, sur l'anneau brun de son anus au milieu de ses fesses charnues, puis, plus haut, sure ses yeux verts qui me dévisageaient par-dessus sur sa poitrine lourde. Elle ne dit rien mais passas lentement une main sur les lèvres gonflées de son sexe, les écartant pour y glisser un doigt. Elle vit ma grimace. « Ça te fais mal petit-puceau? » « Oui Madame » « Tu bandes? » « Oui, enfin j'essaie » Elle eut un sourire carnassier. Puis elle monta dans son lit, m'enlevant ce spectacle sublime. Elle n'éteint pas toute de suite la lumière et je restais dans la pénombre du lit. J'entendis ses mouvements, ses discrets bruits de clapotis, sa respiration qui se faisait plus forte, je savais qu'elle était en train de se masturber. « Pascal, viens là » Je me levais et contemplait un instant le spectacle de cette femme nue, yeux fermés, jambes écartées, en train de se caresser violemment le clitoris. D'où ...
... j'étais, je sentais légèrement l'odeur suave de son plaisir « Suce moi les pieds » Déconcerté pas sa demande, je pris un de ses pieds dans la main et me penchai pour passer doucement ma langue entre ses orteils, percevant le léger goût salé de sa sueur. Ma position me donnait une vue privilégiée sur son sexe entrouvert et sur le mouvement frénétique de ses doigts sur son clitoris qui, de temps en temps, descendait sur ses lèvres luisantes pour y reprendre un peu d'humidité. Elle poussait des petits gémissements plaintifs et sa respiration se faisait de plus en plus courte. Je savais que l'orgasme n'allait pas tarder à l'emporter. Quand il arriva, elle poussa un long cri et se tendit de tous son corps. Puis son cri se changea en une sorte de lamentation grave, tandis que tout son corps était agité de tremblement. Je restai là à lécher le pied que j'avais réussi à conserver malgré ses convulsions, sentant une douleur vive dans mon membre comprimé. L'odeur musquée de son sexe se faisait plus fort dans la petite pièce et je me repaissais de la vue de ce corps alangui, maintenant que l'orage était passé. Elle reprenait lentement son souffle, les yeux fermés, le visage rougi par le plaisir, sa main toujours négligemment posée contre son sexe. Elle ouvrit enfin les yeux et me regarda avec dans les yeux cette espèce de plénitude qu'on souvent les femmes après un orgasme. « Merci Pascal, tu peux aller te recoucher » Puis son regard se posa sur mon ventre. « Tu as coulé sur mes draps » Je me ...