Ma Logeuse Ch. 11
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... baissais pour observer le mince filament transparent qui s'échappait de mon sexe martyrisé. Elle me fixa à nouveau, avec un regard pensif. « Aller, va te coucher » Je descendis du lit et me réinstallais sous ma couverture. Elle éteint la lumière « Bonne nuit Pascal » « Bonne nuit Madame » La douleur fut longue à se résorber et je finis par m'endormir longtemps après elle. Je fus réveillé par un pied se posant sur ma poitrine. Carole était debout à côté de moi, en peignoir. « Allez petit-puceau, il est l'heure de se lever » Je m'assis, cherchant un instant à reprendre mes esprits. J'avais fait des rêves étranges ou je me voyais entraîné dans un monde de femmes géantes qui me considéraient comme leur jouet. « Va préparer le petit-déjeuner pendant que je file à la douche » Je descendis dans la cuisine et lançait le café pendant que je pressais les oranges. J'étais déjà attablé quand Carole descendit. Elle était vêtue d'une robe bleue nuit serrée à la taille par une ceinture dorée qui mettait ses formes en valeurs, de bas chair et de ses éternelles bottines. Elle était légèrement maquillée. Je la trouvais éminemment désirable ainsi apprêtée et la vision de son corps alangui me revint en mémoire. Elle remarqua mon regard et fit une volte pour se faire admirer sous tous les angles. « Je te plais? » « Oui, Carole, vous êtes une très belle femme » Elle eut un regard étrange, et, s'approchant, saisit ma cage sans quitter mes yeux. « Ça fait combien de temps? » « Ça va faire 10 jours ...
... » « Ça te manque? » « Bien sûr » Elle eut un sourire « Je commence à comprendre ce que me disait Hélène, le plaisir de se sentir désirée tout le temps, le surcroît de jouissance que l'on éprouve quand on sait que tu es là, désespéré de frustration et souffrant de ton désir pour moi...C'est une étrange sensation, mais c'est très excitant. » « Vous savez Carole, en dehors de cette douleur parfois très vive quand j'essaie de bander, j'ai appris à aimer cette tension sexuelle permanente qui me fait trembler comme une feuille parfois, rien qu'à vous toucher la main. J'ai une envie terrible de jouir mais je sais que je paierai cette jouissance de l'abandon de cette excitation continuelle et je suis partagée entre le besoin physique qui brûle dans mes reins, et le plaisir psychique de vous adorer d'une manière folle. » « On pourrait peut-être enlever ta cage? » J'hésitais devant cette idée tentante, mais je savais au fond de moi que je ne pourrais pas résister à la tentation de me satisfaire enfin, si j'étais libre. « Je suis trop en manque...je ne pourrais pas m'empêcher de me caresser...et puis même, si je résistais la journée, je ferais surement des rêves humides. Avec la cage, quand un rêve érotique devient trop excitant, la douleur me réveille et m'empêche d'aller trop loin. Hélène m'a appris qu'une certaine forme de douleur était le seul moyen de se retenir...à tel point que j'en arrive à aimer cette douleur » « Tu aimes avoir mal? » « Non, ce n'est pas ça, mais je sais que ça ...