1. Elle et Elle (4)


    Datte: 13/04/2020, Catégories: Lesbienne

    « Je ne veux pas te réconforter, tu sais » me dit-elle. « Je veux te baiser. » Laetitia avait utilisé ce mot cru à dessein. Instantanément, cela donna à sa déclaration tout le poids du réel. Elle n’était pas juste là pour me changer les idées, pour me faire oublier la cruauté de mon mari : elle était là pour prendre sa place dans mon lit, elle était là pour me baiser. Et malgré un soupçon de honte dont je n’arrivais pas encore à me débarrasser, j’avais hâte qu’elle le fasse. Nous nous embrassions à pleine bouche à présent, lentement, profondément, amoureusement. Elle frottait ses seins contre les miens et je perdais mon souffle. Instinctivement, mes mains descendirent le long de son dos, au polo baigné de sueur qui collait à sa peau. Mue par une émotion que je ne contrôlais pas, j’agrippai ses fesses à travers le tissu léger de la jupe, le froissant comme un chiffon. Je massai son cul à pleines mains, en mouvements circulaires et sensuels. Je voulais la caresser, toucher son corps. Je voulais la faire jouir. Elle gémissait encore et encore. « Oui bébé… Je te veux… » dit-elle. Mes doigts tâtèrent l’ourlet délicat de sa petite culotte de coton blanc. Je n’en voulais pas. Je me glissai sous sa jupe, et je baissai sa culotte, dénudant ses fesses douces. Puis je recommençai à masser son beau cul à travers le voile translucide de sa jupe printanière, laissant un doigt s’attarder entre ses fesses, descendre de bas en haut, puis de haut en bas, insister, presser fort, écarter ses ...
    ... fesses. Elle se tortillait de plaisir, lâchant de petites plaintes du fond de la gorge. Elle fit quelques mouvements de cuisses, et la petite culotte humide glissa à ses pieds. S’agenouillant devant moi, la jolie Laetitia commença à couvrir mon ventre de baisers, tout en levant d’une main mon top de coton blanc. Elle lécha et embrassa mon ventre plat, s’arrêtant un instant pour darder sa langue dans mon nombril et l’explorer avec la pointe. En continuant son geste de la main, elle leva mon top jusqu’en haut, dénudant mes seins. Je goûtai la sensation de liberté soudain offerte à mes gros seins, contre lesquels un souffle d’air frais venait s’abîmer. Mes tétons roses étaient durs comme de la pierre. Elle se releva à moitié, toucha mes pointes de ses lèvres. Puis elle en embrassa brièvement la corolle rouge, la lécha, tout autour, alors que mes genoux tremblaient de plaisir, et que ma chatte était inondée. Puis, d’un geste, elle retira mon top en me décoiffant au passage. Mes seins étaient nus. Elle les regarda un instant, attendrie. Splendide. Laetita m’enlaça à nouveau : nous étions l’une contre l’autre, appuyée front contre front. Et nous nous embrassâmes une fois encore, longtemps, comme deux femmes qui savent qu’elles vont faire l’amour pour la première fois. Le baiser finit par s’arrêter, mais on ne se lâcha pas. On resta un moment dans les bras l’une de l’autre, le souffle court. Ma tête reposait contre son épaule. J’avais envie d’être nue contre son corps nu. S’éloignant ...
«1234»