Elle et Elle (4)
Datte: 13/04/2020,
Catégories:
Lesbienne
... de moi, mais sans quitter mon regard, elle me décocha une œillade pleine de promesses et, en riant, me prit par la main jusqu’à sa chambre à coucher. Elle courait, elle volait presque. Les muscles allongés de ses cuisses fermes étaient noués. Je dus prendre mon souffle avant de la suivre. Sa paume était moite. Fébrile, Laetitia s’assit sur le drap blanc de son lit. J’étais debout face à elle. Elle posa sa tête tout doucement contre mon ventre, avant de commencer à me déshabiller. Jamais une femme ne m’avait ôté mes vêtements. Elle passa les mains très, très lentement le long de mes hanches emprisonnées dans ma petite jupe. Elle continua son parcours sensuel, je le sentais, le long de mes fesses, ses mains pleines plaquées contre mes rondeurs, les caressant lentement, appréciant le contact avec le tissu soyeux. Elle alla chercher le bouton qui fermait la jupe dans le creux de mes hanches. Une goutte de ma transpiration glissa sur son index. Elle défit la fermeture et fit glisser très lentement ma jupe vers le bas. Le tissu collait de près à mes hanches et à mes fesses. Il était si serré qu’il ne s’ôtait pas facilement. Laetitia tira fort contre le tissu, qui, tendu à craquer, glissait très lentement sur ma peau. J’avais eu de la peine à enfiler ma jupe ; je n’avais pas prévu qu’on allait me l’ôter. Les doigts rougis par l’effort, elle tirait sur le satin, révélant peu à peu mes formes, libérant ma chair. J’avais peur qu’une couture ne lâche. Quittant mon derrière, elle passa ...
... à l’ourlet de devant, tirant de plus belle, centimètre par centimètre, et revenant ensuite à l’arrière. J’asphyxiais d’anticipation. Je pouvais sentir à quel point elle avait envie de moi. Soudain, passée la partie la plus charnue de mon cul, elle eut plus de facilité à me dénuder. Je sentis le contact doux de ses mains sur la peau nue de mes fesses. Enfin, d’un coup sec, elle tira brutalement et retira complètement la jupe de mes hanches, et le vêtement chuta le long de mes jambes. Je ne portais plus que mon string de dentelle grise. jrwjiiul « C’est moi qui t’ai offert ça ! » remarqua Laetitia, souriante, en découvrant ma lingerie. Elle se mordit la lèvre, me regarda un long moment au fond des yeux, une larme à l’œil, et retira mon dernier vêtement du creux de mes fesses, le tissu léger glissant agréablement le long de mes cuisses. Un bref instant d’humiliation : je ne savais pas si elle avait senti au passage que ma petite culotte était toute mouillée… J’étais nue, à la fois fière du désir que je lisais dans les yeux de ma copine et un peu honteuse de me montrer impudique. Elle ne voulait pas que je voie qu’elle dévorait mon corps du regard, mais dès qu’elle pensait que je ne la fixais pas, elle me contemplait, avec quelque chose de très fort dans les yeux. Elle était aussi intimidée que moi, c’était attendrissant. Je ne savais pas si j’étais prête à voir Laetitia déshabillée. Et pourtant, une force en moi me hurlait de lui arracher ses vêtements. Un instinct voulait la ...