Mon amie Leïla...
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
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... dont je ne connaissais ni le nom, ni le visage, se tordait de plaisir. De ses doigts agiles, elle lui caressait le corps de haut en bas et de droite à gauche. Insistant sur ses parties sensibles telles que les tétons, l’intérieur des cuisses et même les pieds. Je profitais du spectacle qui mettait offert avec délectation. La voir ainsi, quasiment nue, en train de sucer le sexe d’une personne qui m’était totalement inconnue deux secondes auparavant, fit monter en moi un désir que je n’arrivais pas à contrôler. Se faisant, elle me regardait et me souriait d’un air complice. Je compris alors qu’elle me remerciait d’être présente. Mais ce à quoi je m’attendais n’était rien comparé à ce qui allait se produire. Cet homme, qui appréciait réellement les attentions que lui offrait Leïla, décida qu’il était temps pour lui de passer à l’acte. Il voulut se relever mais, d’une main ferme, elle le força à rester allongé. Surpris, car il ne voyait toujours rien, il allait lui dire quelque chose quand soudain : — « Ta gueule ! Tu ne bouges pas tant que je ne te l’ai pas ordonné. » Entendre ces mots dans sa bouche et à cet instant me surprit grandement. Mais pas plus que celui à qui ils étaient adressés. D’un ton médusé, il balbutia quelques mots incompréhensibles. — « Ta gueule, je viens de te dire. Ce soir c’est moi qui suis aux commandes et je vais te faire ce que je veux. » Après avoir dit cela, elle lui attacha les mains. Il ne bronchait plus. J’étais ébahie devant tant d’assurance de ...
... sa part. La situation, qui prenait une tournure vraiment impensable à mon réveil, m’excitait de plus en plus. J’étais impatiente de découvrir ce qu’elle lui avait préparé comme surprises. Elle s’assaillit sur lui et s’empala littéralement sur son sexe, durcit comme un roc. S’activant comme une forcenée, elle me tendit la main pour me faire signe de me rapprocher. Je me levais de cette chaise inconfortable pour m’asseoir sur le rebord du lit à leurs côtés. J’étais vraiment tout près d’eux, au point que je pouvais sentir l’odeur qui émanait de leurs ébats. Elle prit ma main et la posa sur le torse de son amant. Il avait la peau douce. Sans me gêner, je lui caressais le ventre et lui titillais les tétons. Il semblait aimer. Elle prit mon autre main et la déposa sur sa petite poitrine, afin que je lui fasse la même chose. Voilà, j’étais dans la partie. Et pendant qu’elle s’affairait sur ce pénis, je lui malaxais les seins pour les faire pointer encore plus, s’il en était vraiment besoin. Elle m’aida à enlever mon haut moulant et, après avoir ôté également ma jupe, je me retrouvais en sous-vêtements. — « Lève-toi », lui dit-elle. Il était debout, au pied du lit, le sexe érigé vers les cieux et semblait être complètement désabusé. Il ne parlait plus du tout, attendant que Leïla lui dise de faire selon ses souhaits. — « Prends-la dans tes bras et embrasses-la, salaud. » Son langage devenait de plus en plus cru. J’étais dans ses bras, dos à lui. Je sentais son sexe brûlant contre mes ...