1. Mon amie Leïla...


    Datte: 15/04/2020, Catégories: ffh, fbi, hplusag, copains, nympho, hotel, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, hsodo, attache, yeuxbandés, ecriv_f,

    ... fesses. Leïla s’était placée derrière lui. Dans le miroir, je voyais qu’elle s’occupait des fesses de notre homme. Elle insistait lourdement dessus. Bizarrement, en même temps, un poids pesait sur mon dos. Ce vicieux se penchait en avant pour que les caresses intimes de ma copine soient plus localisées. Je pouvais deviner tout ce qui se déroulait grâce à son souffle dans mon cou. Elle venait de lui enfoncer un doigt dans l’anus. Je le savais car il soupirait de plus en plus fort. — « Tu as vraiment l’air d’aimer ça, cochon ! » Il ne répondait toujours pas. Je n’en pouvais plus, il fallait que je vois tout dans le détail. Je me retirais donc de ses bras et me plaçais aux côtés de Leïla. Elle le fit s’agenouiller sur le lit. Il avait maintenant le cul en l’air et était tout offert aux envies perverses de sa dominante. Car c’est ce qu’elle était devenue, une dominatrice. Elle savait exactement ce qu’elle voulait, savait exactement ce qu’elle allait dire et savait exactement comment le dire. Elle se mit entre ses cuisses et lui lécha l’anus. Je savais que c’était quelque chose qu’elle adorait, car, il y a 7 ans, lors de notre nuit de folie, elle s’était longuement attardée sur le mien, ce qui m’avait procuré un plaisir fou. Il gémissait. — « Tu veux goûter ? » Me demanda-t-elle. Toujours un temps de réflexion et je me laissais tenter par cette proposition. Son anus était déjà bien dilaté. Il en émanait une odeur complètement enivrante. Je me perdais dans son cul et me surprenais ...
    ... à lui claquer les fesses, comme j’aime que l’on me le fasse lorsque que je m’offre ainsi. Leïla rigolait de me voir me prendre au jeu. Quittant un instant mon nouveau terrain de jeu, je me retournais et la vis harnachée d’un gode-ceinture. Et d’un bon diamètre, me semblait-il. Elle attrapa notre ami par les cheveux et l’obligea à s’asseoir. — « Sucez-moi, salopes ! » Elle m’avait entièrement fait pénétrer son univers et j’avais décidé de participer totalement. J’ai pris ce sexe en plastique et l’ai sucé comme j’aurais sucé une vraie bite. J’y ai mis tout mon cœur. Lui aussi, d’ailleurs. Nous nous relayions, chacun notre tour, pour bien lubrifier l’objet. Cela fait, elle plaqua notre amant d’un soir au sol et se plaça derrière lui. Présentant son engin aux portes de son anus, elle l’inséra sans difficultés. Elle se déchaîna violemment sur ses fesses. Elle me rappelait une des baises que j’avais eue avec mon ex. La première fois que je lui avais offert ma pastille, il était tellement excité qu’il m’avait mitraillé pendant dix minutes et avait éjaculé en moi. Elle était dans le même état que lui, sauf qu’elle, elle ne risquait pas jouir trop vite. Notre homme hurlait. Ses cris ressemblaient à des mélanges de douleurs et de plaisirs. De temps à autre, elle sortait son gode et me le présentait pour que je le lubrifie à nouveau de salive. J’aimais ça. Elle y retournait et chaque fois qu’elle se retirait, je devais sucer sa bite en plastique. Elle se délectait de cette vision. Et à ...