Le printemps
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
fh,
hbi,
couplus,
boitenuit,
amour,
Transexuels
facial,
Oral
fsodo,
hsodo,
échange,
confession,
... entre nous, presque en famille, en tout cas entre adultes consentants et manifestement vaccinés, chacun en dispose à sa guise. Anaïs n’est pas la dernière. Angoisse d’être vue avec moi ? Moi aussi je flippe un peu. Mais je n’ai pas le choix. La clé USB en place, la lumière éteinte, les convives assis suivant leurs affinités, le spectacle commence. Louis a fait des coupes et son montage n’a gardé que le côté « sexe » de notre rencontre. Un observateur extérieur pourrait juger que c’est bien mal filmé, que souvent les corps cachent les détails. Mais le principal est là. Nous revoir est assez magique. D’ailleurs Anaïs, installée devant avec son mari et sa maîtresse, se tourne vers moi pour échanger un regard. Quoi de meilleur qu’une baise improvisée, des positions spontanées, des gémissements naturels et surtout cette jouissance assumée ? Comme l’autre fois, mon dieu il y a moins de 24 heures, la luminosité diminue, nous laissant dans une pénombre complice. Je vois nettement Loïc se pencher pour parler à l’oreille de Rosita. Le regard qu’elle jette vers Anaïs en dit long sur le message. Elle se lève, se place face à Anaïs, lui tend les deux mains et alors que la femme lui répond, elle la tire à elle. Qui n’approuverait pas la demande du mari ? C’est le rêve de tout homme de voir deux femmes ensemble et c’est encore plus excitant si l’une est votre conjointe et l’autre votre maîtresse. Anaïs nous a démontré hier qu’elle n’est pas inexpérimentée avec son propre sexe et elle ne ...
... refuse pas le baiser qui se transforme très vite en une bataille où les corps qui se frottent ne sont que la partie de l’iceberg des langues qui se défient. Il n’y a pas de doute que les femmes rivalisent pour les beaux yeux de cet homme, mari et amant. Justement cet homme se lève aussi et invite Alban à faire de même. Chacun se place au dos de sa maîtresse. Eux aussi maintenant participent, littéralement collés contre les femmes leur faisant certainement sentir leur excitation. Et puis, les femmes se tournent. Les voici face à leur amant, amant qui découvre la chaleur de leurs lèvres, la vigueur de leur langue et aussi un goût de perversité laissé par la salive de l’autre femme. Commence alors un lent déshabillage. Chacun y va de sa caresse qui n’a d’autre but que de faire sauter un bouton, tirer un zip, détacher une ceinture, dégrafer un soutien-gorge. Et, régulièrement les deux hommes font tourner leur maîtresse afin qu’elle découvre le corps de leur rivale et complice. La poitrine de Rosita est un défi à la pesanteur. Nul doute que la science ne soit passée par là. Anaïs ne s’y trompe pas, elle qui passe un long moment à en explorer les formes. Les baisers se font plus tendres. Les caresses plus précises et les mains des hommes ne sont pas inactives, n’hésitant pas à franchir la séparation. On voit bien qu’Alban n’est pas indifférent à la beauté torride de Rosita. Bientôt à ce petit jeu, les hommes sont nus et leur érection ne peut pas être cachée si ce n’est lorsque leur ...