1. Le printemps


    Datte: 15/04/2020, Catégories: fh, hbi, couplus, boitenuit, amour, Transexuels facial, Oral fsodo, hsodo, échange, confession,

    ... pourquoi lui avoir dit de venir ? Comment on va faire maintenant ? Je serais rentrée, c’est tout.— Oh, ma Chérie, ne mésestime pas les hommes. Si tu étais rentrée, il aurait sûrement eu un doute. N’oublie pas que tu ne l’as pas prévenu et j’imagine que normalement vous échangez au moins des SMS.— C’est vrai et j’ai juste envoyé des petits mots disant que tout allait bien sans plus de détails. Et Alban ? Comment on fait ?— Eh bien, Alban va se sacrifier pour garder votre liaison secrète. Il va rentrer par le train. Vous êtes bien venu avec ta voiture ?— Oui. Deux heures plus tard, Alban est dans son train. Un grand ménage a été fait dans les chambres, dans les salles de bain, dans le salon et dans le home cinéma. Même la cuisine est passée au peigne fin afin que ne subsistent que des traces de deux personnes, pas de trois et encore moins de quatre. Moi, je suis dans ma voiture garée un peu plus loin, une valise à côté de moi, valise de celui qui est censé être parti et qui revient lui aussi plus tôt que prévu. Je dois dire que ma femme a fait preuve d’une présence d’esprit stupéfiante en invitant ce Loïc, chassant ainsi le risque que le mari se doute de quelque chose. Cerise sur le gâteau, je dois attendre l’arrivée de l’homme à la maison afin qu’il intègre bien qu’Anaïs était effectivement depuis 24 h avec Valériane. La friponne d’Anaïs nous a donné quelques détails. Son mari est lieutenant de gendarmerie. Une dizaine d’années de plus qu’elle. Ils vivent dans une sorte de ...
    ... caserne. Il est assez souvent absent, des semaines parfois. Elle nous avoue que pendant ces temps de privation elle avait trouvé Alban, dont le métier servait d’excuse et les amants pouvaient se rencontrer en toute discrétion, en ville. Il arrive et se gare juste à côté de la voiture de sa femme. Il sort, un sac de voyage de son coffre. Il est en civil bien sûr. Il a tout du militaire en activité. Le port de tête, les cheveux très courts, les épaules assez larges. Décidément Anaïs a un faible pour les hommes costauds et avec Alban elle s’est trouvé un avatar de son mari. La porte s’ouvre. C’est Anaïs qui le reçoit. Valériane est derrière. La porte se referme. J’attends. Les minutes paraissent longues. J’aurais bien voulu voir la tête du gars, mais mon absence apporte une touche de vérité. Vingt minutes et j’entre. Moi aussi j’ai une valise à la main. Ils sont dans le salon. Personne ne m’a entendu rentrer. — Bonsoir. C’est vrai qu’il est 18 h passé. — Oh, bonsoir mon chéri. Tu m’as manqué, dit Valériane en femme heureuse de retrouver son mari et qui l’embrasse tendrement. Elle en fait un peu trop peut-être avec ce baiser appuyé et son corps qui se colle au mien.— Laisse-moi te présenter mes amis. D’abord Anaïs. Comme tu le sais, elle est chez nous depuis hier. Et puis voici son mari, Loïc, qui comme toi est revenu plus tôt de sa mission. Ce qui nous vaut le plaisir de nous retrouver tous les quatre. Je m’avance. Je tends la main à Anaïs. — Faites-vous la bise. Allons ! Ne soyez ...
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