Le printemps
Datte: 15/04/2020,
Catégories:
fh,
hbi,
couplus,
boitenuit,
amour,
Transexuels
facial,
Oral
fsodo,
hsodo,
échange,
confession,
... ses caresses regarde. Lui ne paraît pas surpris. Il devait être dans la confidence. D’une certaine façon il est le fil conducteur. Moi je n’ai été que le briquet qui allume la mèche. Loïc a suivi l’embrasement du cordon, découvert l’amant et s’en est fait un complice pour arriver à ses fins. Je comprends pourquoi cet homme n’a pas voulu avouer son secret, sa relation avec une femme/homme, mélange parfait de la féminité dans les gestes, les attitudes, les envies et d’une masculinité cachée, mais encore présente. Je trouve que le terme anglais « Shemale » résume parfaitement l’ambiguïté, mais aussi la complémentarité. Et le « She » cède la place au « Male ». Maintenant, c’est une verge en érection que Loïc nous montre. Verge sombre à l’image de la métissité de son propriétaire. Un gland enfin libéré de sa protection apporte la touche de rose. La salive de son suceur complète le tableau. Alban reprend ses caresses. Anaïs regarde toujours, mais c’est de la curiosité. Voir son mari pomper une bite demandera des explications, mais plus tard. Pour l’instant, elle est au spectacle. La queue s’est déployée bien au-delà de ce que le petit bout fripé pouvait laisser prévoir. Son homme s’en fait une friandise. Il s’essaie à en gober le plus possible et c’est plus que troublant de le voir reprendre son souffle en libérant des flots de salive. Loïc suce. Loïc pompe. Loïc engloutit. Loïc lèche. Loïc aspire. Loïc pousse un doigt dans le cul de sa maîtresse. Et Rosita apprécie. Elle aussi ...
... gémit. Anaïs se sent moins seule et se joint au concert. Mais Rosita attrape la tête de sa voisine pour la forcer à rejoindre son mari. En quelques secondes voici les deux époux faisant assaut sur cette queue qui semble énorme. Alban profite de ce que sa maîtresse s’est déplacée et installée à quatre pattes sur le canapé pour aller l’enfiler. Anaïs suce. Anaïs se fait prendre. Elle pompe la maîtresse de son mari. Voilà une phrase sans queue ni tête, et pourtant… Le mari demande à Rosita de se tourner et de lui offrir sa croupe. La bite de Loïc est en forme, elle pousse la rondelle, fore le passage et à quelques centimètres d’elle, Anaïs voit son mari enculer sa maîtresse, maîtresse dont le manche se balance maintenant sous les oscillations du couple. À quoi pense Anaïs, baisée avec ardeur par Alban ? Oui, à quoi pense-t-elle alors que sous la puissance et l’excitation de la bite qui la laboure, son visage s’approche si près de l’autre couple, qu’elle voit en gros plan la bite maritale explorer le plus profond de Rosita ? A-t-elle envie d’apporter une touche de perversité supplémentaire en léchant le vit qui entre et sort, abandonnant le temps d’une respiration un anus ouvert, béant, indécent, obscène qui ne demande qu’à être déformé encore plus ? La réponse est pour plus tard, car pour l’instant on la laboure et elle aime. Son amant s’agrippe à ses seins, tordant les tétons en signe avant-coureur. Elle le connaît bien maintenant son Alban. Il va venir et elle n’est pas loin de ...