La tour infernale
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
piscine,
ascenseur,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aliments,
humour,
sf,
... J’aime bien faire du cinéma… L’ascenseur émit un hoquet, se remit en mouvement. — Qu’est-ce que c’est que ce bordel ! La cabine remontait lentement et agitée de soubresauts. Angélique se blottit de nouveau dans les bras de Max. Alors qu’ils perdaient espoir – ils se voyaient déjà réduits en bouillie au bas de l’immeuble au terme d’une chute de près de huit cents mètres – l’appareil s’immobilisa dans une dernière secousse. Les portes s’ouvrirent. — 377èèème, bêla la voix désincarnée. L’appareil gémit et s’éteignit définitivement. — Nous sommes revenus à notre point de départ. Dans l’espace directorial.— Encore coincés ! lui répondit-elle.— Oui, mais en mieux : il y a un grand bureau qui sert de living, un salon, une petite chambre, une salle d’eau, de la nourriture, un réfrigérateur, de la boisson et une vue imprenable. Bienvenue dans la suite royale. Champagne, foie gras : vous allez passer un week-end de rêve et oublier tous vos malheurs, chère Damoiselle. Il faisait le guide, tel un majordome stylé. Derrière eux l’ascenseur resta portes ouvertes, inerte. — Que va dire le patron quand il va nous trouver ici ? Nous allons perdre notre boulot.— Je le connais un peu ; il comprendra. Tu n’avais pas envie de…— Si !— Les toilettes sont derrière cette cloison. Il la regarda courir vers les toilettes en souriant. — Il y a une douche. Je peux en prendre une, à ton avis ?— Attends, j’arrive. C’est un modèle assez spécial, pas besoin de savon. Il essaya de nouveau son portable, la ...
... ligne fixe, Internet, sans plus de résultats que la veille. Bien évidemment que j’ai coupé ces réseaux. Pas né de la dernière pluie ! Avant de la rejoindre, il fit un saut dans le bureau pour retirer les photos de lui, surtout celles avec sa fiancée et les fourrer dans un tiroir. J’ai beaucoup appris en matière de sexualité ces derniers jours. Des trucs que je ne connaissais pas. Le dimanche soir, elle gisait affalée sur le canapé, les jambes largement ouvertes. Elle caressait les cheveux bruns de son compagnon d’infortune qui semblait vouloir lui dévorer son brugnon. Il insistait avec douceur sur le sommet de son petit fruit, déclenchant des vagues de frissons à travers son corps. Un grand sourire aux lèvres, elle se remémorait leur séjour. Ils restèrent nus et firent l’amour un peu partout et dans de nombreuses positions. Ils allèrent aussi sur la terrasse. Autour d’eux s’étendait Paris et, selon ses dires, il y reçut la plus belle fellation de sa vie. Elle tint à le garder en bouche jusqu’au bout. Elle rechignait à le faire avec Carl, mais n’hésita pas une seconde avec l’autre naufragé des cimes, comme ils se nommaient. Pour lui, faire l’amour dans un jacuzzi procurait des sensations inoubliables. Surtout lorsque les bulles venaient éclater sur les testicules. Elle n’osa pas le dire, mais les bulles lui faisaient le même effet sur la chatoune. — Il semble insatiable, se disait-elle, et moi aussi. Elle se rappelait les paroles de Carl : « Même pas capable d’accepter un doigt ...