1. La tour infernale


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail piscine, ascenseur, amour, Oral pénétratio, fsodo, aliments, humour, sf,

    ... nuage, un demi-dieu venait lui tendre une coupe d’ambroisie. Elle souriait tout en rêvant. Le dieu l’embrassait. Elle s’éveilla, heureuse. Max lui embrassait le front et passait sous ses narines une tasse de café. — Il est temps de nous préparer, ma belle, sinon nous allons nous faire remonter les bretelles par la mère Tape-dur. Elle s’étira comme une chatte et but son café, sous l’œil admiratif de son amant. Quelque temps plus tard, habillée et pomponnée, elle regardait Max appeler l’ascenseur avec une certaine appréhension. À leur grande surprise, l’appareil émit un petit son guilleret et ferma ses portes pour les ouvrir aussitôt sans aucun problème. Ils le regardèrent, étonnés. — Voilà, je ne te remercierai jamais assez pour ce week-end très surprenant, lui dit-il. Elle semblait gênée ; elle rougissait de confusion. Max la prit dans ses bras et l’embrassa tendrement. — J’ai un aveu à te faire : je ne m’appelle pas Max, mais Maximilien. Tu ne m’en veux pas ? Elle rit, le serra contre elle. — Surtout pas un mot : que cela reste un secret entre nous.— Je serai muette comme une tombe. Ce fut le plus beau week-end de ma vie. Elle grimpa dans l’ascenseur, regarda une dernière fois le jeune homme alors que les portes se refermaient. — 375ème.— Je vais appeler la maintenance et faire vérifier cette satanée machine. Je leur souhaite bien du plaisir ; je les mets au défi de trouver une infime trace de mon passage. Muriel avait quitté une Angélique en larmes le vendredi soir ; elle ...
    ... la retrouvait le lundi matin souriante et rayonnante. — Que t’est-il arrivé ?— Moi ? Rien, juste un week-end banal. Les jours passèrent ; Max préparait son mariage avec Lina Burton – de son vrai nom Marcelline Poireau – ex-top model, future actrice et future chanteuse. La presse pipole et la presse économique, unies pour une fois, célébraient l’union de la finance et de l’art. Le mariage devait se faire en deux temps. D’abord, le mercredi à la mairie, et le samedi suivant, en grande pompe à l’église. Max se préparait, mais se posait des tas de questions. Il avait la sensation de faire une connerie. Il passait son temps enfermé dans son bureau, la tête entre les mains. Mais oui, mon gars, tu fais une connerie, et je vais te le prouver ! Il faisait le même rêve étrange depuis quelques jours. Il se réveillait en sursaut et en sueur. Il se voyait accroché dans la cage sans fond d’un ascenseur. Sa main luisante de transpiration glissait inéluctablement sur le rebord ; d’un instant à l’autre, il allait lâcher prise et s’écraser 1000 mètres plus bas. Au moment où il abandonnait tout espoir, une main secourable lui attrapait le poignet. De son sauveur, il ne voyait que la main et les yeux. Des yeux noisette. Il se réveillait toujours avant de savoir si cette main arrivait à le tirer de ce mauvais pas. Les rêves, je n’y suis pour rien ; faut pas tout me mettre sur le dos. Pour compliquer le tout et le tourmenter un peu plus, Maximilien recevait des courriels ou MMS étranges. Impossible ...
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