1. Les bonheurs de Sophie (11)


    Datte: 16/04/2020, Catégories: Transexuels

    Sophie11 Victor est parti le lendemain d’un week-end sulfureux où j’avais pris des mètres de bite dans le cul. Le lundi et le mardi, je fis l’amour à maman classiquement c’est-à-dire dans la position du missionnaire ! Le mercredi nous sommes allés faire des achats de lingerie puis sommes allés dans un sex-shop. Maman m’avait choisi mes dessous, maintenant, elle choisissait un gode ceinture plus imposant que le sien. Une fois rentrées à la maison, Nous nous sommes empressées de déballer les paquets. Je filais dans la salle de bain pour me changer tandis que maman allait dans sa chambre. Après m’être préparé l’anus, j’enfilais la guêpière blanche, puis les bas blancs, une jupe noire plissée et un haut blanc à manches courtes transparent. Je mis des souliers à hauts talons. J’allais ensuite me choisir la perruque brune à cheveux longs. Je rejoignis ma mère dans sa chambre. Elle était vêtue d’une jupe courte en cuir, un soutien gorge en cuir également mais percé au tétons ce qui laissait apparaître ses auréoles brunes. Ses jambes étaient gainées de bas de soie Elle portait ses bottes cuissardes qui arrivaient à la limite de ses bas. Elle tenait en main une cravache et un collier muni d’une laisse. — Viens ici petite pute ! — Oui maman — Non ! « oui, maîtresse !! » — Oui maîtresse ! Je m’approchais en roulant des hanches de façon provocante. Elle m’attacha le collier et tira sur la laisse pour que je lui suce les tétons. Ce que je fis avec application, je la suçotais, la ...
    ... mordillais. Elle m’ordonna : — Bouffe moi la chatte. — Oui maîtresse. Je soulevais sa jupe et découvris sa chatte si poilue. J’enfonçais mon nez dans ses poils pour humer cette odeur si forte qui m’émoustillait. Je descendis tout en lui tenant les fesses. Elle écarta les jambes et m’appuya sur la tête pour me positionner la bouche sur sa vulve. Il se dégageait une forte odeur d’urine, de cyprine et des effluves musqués. Je m’appliquais à lui lécher le clitoris. Puis le suçotais. J’avais du mal à lui lécher le vagin mais je la sentais tremblante sur ses jambes alors que je la léchais. Elle tira sur la laisse et se retourna en remontant sa jupe de cuir. Elle m’ordonna : — Lèche moi le cul , je ne me suis pas essuyée tout à l’heure ! — Mais maman tu es sale... (Elle franchissait les limites de la perversité !) — Lèche ! j’ai dit ! Elle m’asséna un coup de cravache qui me fit émettre un cri de douleur. Je lui écartais les fesses et me mis à lui nettoyer l’anus. De la merde était collé sur ses poils de cul. Le goût était acre mais j’aimais ça. Alors que j’avais léché consciencieusement le pourtour, je lui enfonçais ma langue au plus profond de son anus. Elle appréciait. Elle faisait bouger ses fesses, se cambrait, se cabrait alors que je lui enfonçais ma langue. Elle s’arrêta de bouger. Se contracta et fit une petite crotte qui tomba sur le sol. Je m’étais reculé, surprise de cette nouveauté. Elle m’ordonna : — Bouffe ma merde ! — Oh non, c’est sale ! Elle m’asséna plusieurs coups de ...
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