1. Les bonheurs de Sophie (11)


    Datte: 16/04/2020, Catégories: Transexuels

    ... cravache sur les fesses — bouffe j’ai dis ! — oui maîtresse ! Je mis ma bouche près de sa crotte. Une forte odeur s’en dégageait. J’ouvris la bouche et la referma sur sa déjection. La consistance était moelleuse, je me mis à mâcher. Mais ma maîtresse me tira à elle, me fit me relever en tirant sur la laisse. Elle m’enlaça et m’embrassa alors que j’avais la bouche pleine. Ce baiser fut somptueux ! Nous partagions la même perversité. Elle roulait sa langue sur la boulette que j’avais en bouche. Le sentiment d’interdit m’électrisait. Je bandais dur dans ma culotte. Maman me dégagea la bite. Moi je déglutis le morceau. — Tu es une vraie salope me dit elle — Oui maîtresse — Maintenant je vais t’enculer. Va chercher mon nouveau gode. — Oui maîtresse J’allais jusqu’à l’armoire et pris la boite que j’ouvris. Le gode était énorme, presque de la taille de Victor en grosseur et presque de la taille de François en longueur ! Je me saisis de l’engin et l’apportais à ma maîtresse. — Mets le moi ! — Tout de suite maîtresse ! Je fixais la ceinture et quand j’eus terminé. — Montre moi comment tu suces Je m’agenouillais et pris la bite en bouche. Ça avait un goût de caoutchouc et je préférais une vraie. Après quelques minutes elle me fit me relever et me retourner. Elle prit un tube de lubrifiant et me prépara le cul avec ses doigts. J’aimais son va et vient en moi. Elle appliqua le gland sur ma rosette et poussa très fort. Le gode me transperçait le fion. — non ça fait mal ! — Tais toi ...
    ... salope, tu aimes les grosses bites ! irxikkyz — Oui, j’aime ça, mais la tienne est très grosse ! — Comme celle de mon homme, et tu l’aimes celle de mon homme ! — Ouiii ! Je me détendis et la queue de maman s’enfonça inexorablement. J’étais déchirée, je criais de douleur et de bonheur de me sentir transpercée comme jamais. Elle resta fichée au fond et fit de petits mouvements du bassin Elle se retira complètement, remit du lubrifiant sur sa queue puis se ré enfonça à fond. Elle me fit me redresser en tirant sur la laisse. Ses mains se posèrent sur mes hanches puis elle commença un va et vient tout en douceur puis progressivement à l’allure d’un cosaque en rut. La fausse bite m’emplissait. J’étais aux anges de me faire enculer par ma mère. Elle se saisit de ma queue bandée et se mit à m’astiquer. Elle s’arrêtait de temps en temps pour mieux me prendre. Elle allait et venait en moi avec une force virile. Elle sortit de mon cul pour me retourner et m’allonger sur le dos. Elle releva mes jambes sur ses épaules puis ré introduit sa bite dans mon œillet. Elle me regardait me pâmer sous ses coups de butoir. Sa longue verge m’emplissait le bas ventre. Elle y allait fort et moi je couinais comme une femme. Elle reprit sa branlette tout en restant fiché complètement en moi. — oh maitresse c’est trop bon je ne peux plus me retenir. — Tu vas baiser ta maitresse. Elle retira les lanières du gode ceinture tout en le laissant en moi. Je maintenais l’objet enfoncé quand elle me chevaucha pour ...