1. Le 7ème art et celui de mon homme


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, cinéma, amour, noculotte, Oral pénétratio, ecriv_f,

    Lundi 6 décembre, Paris Montparnasse, début d’après-midi. Je vais rejoindre Tiber. J’ai réservé une surprise à mon amoureux : sous ma jupe tout ce qu’il y a de sage, je cache un porte-jarretelles assorti à mon ensemble string/soutien-gorge. Ça fait 5 semaines que l’on ne s’est pas revus, et l’attente a été longue. Comme prévu nous nous rendons au cinéma voir le film dont j’avais envie. Mais à peine la salle est-elle plongée dans le noir qu’il se fait entreprenant… Sa main qui était sagement posée sur mon genou a tendance à remonter le long de mes cuisses. Ses baisers dans mon cou se font plus pressants, plus précis aussi… et finissent assez rapidement dans le creux de mon décolleté un peu trop profond pour être décent. Je pense à peine aux gens qui sont avec nous… Nous sommes au milieu de la salle, tout le monde peut nous deviner à la lueur du film. Une de ses mains tire encore plus sur mon décolleté pour en faire sortir ma poitrine et la mettre à disposition de ses lèvres… Un gémissement : son autre main glissée sous ma jupe a découvert mon porte-jarretelles. Il me met dans un état pas possible, j’ai trop envie de lui… « J’ai très envie de te prendre dans ma bouche tu sais… » « Ne te gène pas ! » La position est peu favorable mais pour moi c’est devenu une vraie gourmandise. Je suis consciente que les spectateurs à côté et derrière nous savent très bien ce que je suis en train de faire, mais ça m’est égal. Les lumières se rallument et nous montrent, moi totalement ...
    ... ébouriffée, la jupe remontée et le décolleté chamboulé, et lui avec le pantalon sur les cuisses… Après un rapide réajustement, nous sommes fortement incités par le personnel de salle à sortir. Mais ces préliminaires n’ont fait qu’allumer le feu dans mon esprit, et rentrée chez moi le soir, j’ai beaucoup de mal à m’endormir… Mardi 7 décembre, métro ligne 13, début d’après-midi. À nouveau je vais à la rencontre de Tiber. À nouveau je lui ai réservé une surprise… Je suis nerveuse. Je porte une jupe serrée plutôt courte, trop peut-être, vu qu’elle peut laisser voir quand je m’assois les attaches de mon porte-jarretelles. Assise sur la banquette dans le métro, je veille à ne rien laisser dépasser… J’ai de drôles de sensations. Les secousses du métro inspirent mon désir… sans compter que je ne porte pas de culotte ni de string. L’air qui s’infiltre entre mes cuisses me chatouille agréablement. J’imagine la surprise pour Tiber, et quand je pense aux manières de profiter de mon absence de culotte, je me sens déjà toute chose. Le feu allumé par ses caresses la veille ne s’est toujours pas éteint, et je ne vais pas pouvoir supporter longtemps de ne pas le satisfaire. Je suis arrivée à Montparnasse, me voilà dans ses bras. Nous décidons de faire les boutiques, puis d’aller prendre un chocolat. Sur le trajet je décide de lui avouer mon méfait… « J’ai froid… » « Pauvre petite puce, viens là que je te réchauffe… » « Oui mais tu ne peux pas y remédier partout… Je n’ai pas mis de culotte, et pas ...
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